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dans se livre on fait commaisance avec rocambole. il a douze ans,
c'est un enfant trouvé, c'est
déjà un petit voyou, avec de
l, audace, une grande pénétration d, esprit, un courage a toute épreuve, et
il est muet comme la tombe
sur toute chose.
il va faire la connaissance de sir William un être malfaisant qui livre une guerre sans merci a son demi-frère Armand.
après avoir été complice,
rocambole, va se transformé en justicier et livrait une guerre sans merci
a sir William. en déjouant
ses pièges.
c'est bien rythmé et bluffant.
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J;'avais déjà fait la connaissance de Rocambole - ou cru faire la connaissance- sous la plume de Michel Honaker bien des années avant 'apprendre que le personnage était née de celle de Ponson du Terail.

Une connaissance ayant critiqué le livre de manière élogieuse, je m'étais promis d'y jeter un oeil. Et puis quelle ne fut pas ma chance le jour ou je l'ai surpris das une bouquinerie. Première fois que j'ai marchandé de ma vie, ayant un porte monnaie trop court d'un euros. Mais la fidélité fait le client...



Bref passons à l'oeuvre. Rocambole je l'avais connu comme un bandit déjà repenti, luttant contre le mal, protégeant la veuve et l'orphelin. Mais voilà avant d'être repenti, il faut déjà devenir bandit.

Dans ce premier tome, Rocambole ne fait qu'une apparition relativement courte: il s'agit d'abord de nous présenter deux cteurs qui jouerons un rôle majeur dans sa vie:

Sir William, le malfaisant, l'impitoyable maître du mal et maître à penser de Rocambole qui sera son disciple.
Et Arthur de Kerloven, le bon génie, l'ange de la rédemption encore lointaine de Rocambole.

L'atmosphère est bien sombre dans ce premier tome, le lecteur frémit s'angoisse facilement pour ses héros qui à chaque espoir de victoire se voient propulser dans des gouffres plus terrifiant encore.

car oui une des choses qui fait le charme du roman c'est d'observer les rouages impitoyables se mettre en place, lentement le piège se resserrer... jusqu'à ce que le tout petit grain de sable vienne se glisser dans l'engrenage pour tout faire basculer.

En cela d'ailleurs Ponson du Terrail diffère de Dumas car l'espoir est permis.
Avec le père des trois mousquetaire on savoure amèrement la tragédie à venir avec celui de Rocambole on se délecte à l'avance de la libération triomphante.

la plume est fluide et élégante et les pages filent toutes seules, presque trop rapidement.

Bref un excellent moment à passer, que je recommande à tous les amateurs de roman de cape et d'épée et roman feuilleton.
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Le FEUILLETON dans toute sa splendeur, un héros pur, un méchant très méchant, une lutte fratricide où tous les coups sont permis, des aventures et des retournements dantesques. Rien ne tient debout mais quel plaisir de lecture ! Pour les petits et les grands qui ont gardé leur âme d'enfant.
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Un document compromettant détenu par Baccarat compromet les projets de mariage entre Rocambole et la belle espagnole Conception. Avec Sir Williams, les combines se multiplient afin de récupérer ce document et éliminer les divers obstacles.
Des récits bien moins captivants que je ne l'avais espéré. Les personnages sont nombreux, l'intrigue est complexe, beaucoup de pages défilent avant que le récit ne donne le sentiment de progresser. J'aime tellement la série Rocambole de Michel Honaker que cela a sûrement un peu faussé mon jugement.
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Avis aux lecteurs : comme sur toute bonne boite de médicaments, je les mets en garde contre des effets secondaires puissants. Il y a un fort risque d'accoutumance à cette prose, érigée en feuilleton du XIXème.
Situé à mi-chemin entre les Misérables et les Mystères de Paris, Ponson du Terrail dresse le combat fratricide sans merci du bien contre le mal.
Ce sont les propres fondations de toute la littérature comics des années 50 mettant en scène des super héros (Batman, Spiderman) contre toujours le même adversaire. Il n'y aura pas de répit, chaque petite victoire n'est que le terreau d'un futur combat, le mal ressurgissant toujours, comme les racines du liseron que l'on tente sans succès de couper.

Rocambole c'est Gavroche. Même gouaille, même effronterie, même aplomb, même audace, vrai fils de Paris.
Seulement ce titi sert les méchants et n'apparait qu'aux trois quarts du roman. En réalité, Rocambole devrait s'intituler « la genèse de Rocambole ». Car, parvenus à la fin des péripéties amoureuses, on s'aperçoit que l'on n'est qu'au début de l'aventure. Et ce feuilleton relié en un imposant volume (un demi-millier de pages) n'est que le premier épisode d'une chronique bien plus vaste.
A suivre…
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Ho appena ufficialmente trovato uno dei miei personaggi cattivi preferiti: il visconte Andréa (con l'accento sulla e, vero? Perché su una delle due edizioni che possiedo non c'è l'accento). A un certo punto dello svolgimento della storia stavo pensando che fosse un po' troppo perfetto per essere vero, poi ho cambiato idea: ha tutta una deliziosa serie di difetti che lo rendono essenzialmente perfetto nella sua imperfezione e malvagio al punto giusto, senza alle spalle uno di quei motivi sciocchi e lacrimosi (del tipo: ho avuto un infanzia infelice, il mondo non mi vuole, la fidanzata mi ha mollato, sono stato adottato da un poco di buono, ecc.). No, lui è un bastardo malvagio perché ama esserlo e ci si crogiola piacevolmente. Quel che è meglio (o peggio, a seconda dei punti di vista), è che è maledettamente bravo nel farlo: molto intelligente, scaltro, intuitivo (è anche un bell'uomo, e perfino atletico e coraggioso, che non guasta affatto). Insomma, credo proprio di essermi perdutamente invaghita di questo personaggio.
Per il resto, direi che è una storia intricatissima, piena di personaggi, di storie intrecciate, di ritorni, di rapimenti, di morti ammazzati, di matrimoni saltati o combinati… Insomma, una telenovela del XIX secolo.
Rocambole, quello che di fatto presta il nome alla serie di romanzi, non mi ha molto impressionata. Forse perché è ancora molto giovane e quindi un poco inesperto. Forse perché nella mia mente è stato un po' messo in ombra da Andréa. Forse perché, nonostante affermi di avere idee chiare, a me non è sembrato, e non mi è parso che sappia cosa ne dovrà fare della propria vita né del proprio futuro.
Mi riservo di leggere il seguito per farmi un'idea più precisa su di lui. Per ora mi reputo piuttosto soddisfatta per quanto letto finora.
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J'adore lire de temps en temps un classique peu connu.
Même si tout le monde connais l'expression rocambolesque, on ne sait pas forcément que cela viens du personnage rocambole.
Ici, vous avez de l'action, de la romance ultra fleur bleu et très cliché c'est vrai.
De l'humour, du suspens avec l'éternel combat du bien contre le mal.
Je trouve que par certains aspects ce roman peut sembler négatif .
C'est vrai si il avait été écrit de nos jours, mais comme c'est à une époque beaucoup plus ancienne, et que la vie et les écrivains ont évolué, je pardonne et je comprend mieux .
En tous cas j'ai passé un très agréable moment de lecture .
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