A retenir :
- Pastel sec : Une rencontre avec Jacques Coquillay (sculpteur à l'origine). Ses oeuvres au pastel sont magnifiques, toutefois quelque chose m'a un peu interloquée dans cet article quand il dit : « Mauvais coup du sort, une de mes teintes préférées, le turquoise n°8 de Rembrandt n'est plus fabriqué. J'ai eu beau essayer le 7 et le 9, tenter de les mélanger, rien ne pouvait remplacer l'éclat indispensable de ce bâton. Mon marchand de couleurs a tant et si bien fait qu'il a raflé tous les stocks restants. J'en ai au moins 300 en réserve, de quoi tenir des années ! » Sympa l'artiste sexagénaire !
- Règles juridiques de la transaction d'une oeuvre et question de la propriété intellectuelle et des droits d'auteur, droits patrimoniaux, droits d'exploitation …. bon à savoir.
- Les huiles méconnues de Turner. En effet, le public français plébiscite Turner aquarelliste. Mais il n'a que rarement l'occasion de voir ses oeuvres à l'huile. Et pour cause : le Louvre n'en possède qu'une, acquise après la mort de l'artiste et longtemps suspectée d'être un faux.
- L'ambre, un luxe à découvrir. Tout savoir sur ce produit ancestral capable de donner aux couleurs un éclat, une solidité et une jeunesse éternelle… ses avantages et ses inconvénients, et comment fabriquer 2 médiums à base d'ambre et des conseils d'utilisation en images.
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Que l’on soit artiste professionnel ou vendeur occasionnel d’une de ses créations, il convient avant tout de bien cerner ce que l’on cède en vendant un tableau. S’agit-il de la toile, de l’image qu’elle porte, de son exploitation ? Sous des dehors parfois difficiles, l’arsenal juridique, en la matière, vise essentiellement à détacher l’objet créé (tableau, sculpture..) de la démarche créatrice elle-même. Et d’éviter les abus, préjudiciables à l’auteur comme à l’acquéreur.