Pour être libre, il faut lutter, parfois choquer. Et bien plus encore quand on est femme…
Le péril est devant, mais le danger est derrière…
La mort, plutôt que la soumission.
Devenir martyre et disparaître.
Mais réincarnée, au profit d’une Djénane de papier qui la rendra éternelle.
On nous a dit que vous ne connaissiez pas la femme turque…
Mais qui donc la connaît quand elle même s’ignore !
C'est ici, en Occident, que j'ai appris à apprécier mon pays. J'ai même eu assez d'Occident pour souhaiter retourner en Orient, juste pour retrouver l'ancienne expérience du calme... tout cela est si différent de ce que j'avais espéré ! C'est pourquoi je rentre au pays. D'autant que notre chère patrie est à présent délivrée.