...Je demandais aux trains le but de mon voyage..
Ulysse, tu avais beau presser l'orange, l'univers,
Le sommeil était là, assis,les yeux ouverts,
L'espace était immangeable...
MON VENT DU LARGE A MOI, c'est le métro;
Et les soirs de tempête,
Je m'accroche au Sébasto;
Dans l'odeur des frites froides
Dans le cri des flippers,
Le ressac des passants,
J'entends des "Hisse et Ho!",
Et je sens l'océan
Qui vient lécher les pieds de Notre Dame...