Journal d'une fille débordée : L'année de l'intox

Un livre assez sympa à lire.

Sous forme de journal intime, nous plongeons dans la vie et l'univers de Juliette. Nous la suivons dans tous les moments tragiques qu'elle vit au cours d'une année. Son combat pour reprendre son corps en main, sa lutte en tant que mère célibataire.

Avec des airs à la Bridget Jones, Suzy K. Quinn nous entraîne dans la vie presque banale d'une femme a qui la chance ne sourit pas. Et pourtant.

Un livre sympa à lire, à la fois drôle et émouvant. Une histoire auquel on se prend facilement, des personnages auxquels on s'attache et d'autres qu'on ne peut que détester. Tout y est pour passer un bon moment en compagnie de Juliette et de son entourage.

Vous aimez les romans feel good et les histoires à la Bridget Jones ? Alors le journal d'une fille débordée est tout indiqué pour vous. Cette lecture est une bouffée d'oxygène, une fenêtre de vie sur l'existence compliquée de son héroïne qui tente malgré les obstacles de garder le cap. Un livre différent, qui fait du bien par où il passe.

Premier constat en refermant cet ouvrage c'est la surprise du format choisi par l'auteure. En effet, exit les récits par chapitre, Juliette nous livre ses états d'âme au jour le jour. 365 pensées quotidiennes, un an de drame, de remise en question, de souffrance et d'espoir. Pas un seul jour ne passe à la trappe même si tous n'éveillent pas forcément notre intérêt. Il faut dire qu'une fois la stupéfaction de la narration passée, je reconnais que certaines réflexions reviennent en boucle ce qui donne l'impression de faire face à des situations similaires à plusieurs reprises.

Toutefois, j'ai beaucoup apprécié le fond de cette histoire, car elle reflète bien les problèmes que l'on peut rencontrer et même si je n'ai pas son vécu, je me suis étrangement sentie proche de Juliette. Cette jeune femme est émouvante, car décidée à tout faire pour maintenir le cap et tient absolument à s'en sortir. Je ne vous révélerai pas pourquoi ni comment, néanmoins, je peux vous dire qu'elle fait preuve de volonté et de courage.

Je trouve l'idée de base très sympathique et j'ai passé un bon moment en compagnie de Juliette, sa famille un peu déjantée et le mystérieux Alex. La fan de romance que je suis aurait aimé que ce côté soit un peu plus développé, mais je suis consciente que ce n'est pas le sujet principal de ce roman. Vous êtes à votre tour prévenu, n'attendez donc pas d'effusion de sentiment et de grande déclaration à tout va. Cependant, une belle relation naît sous nos yeux impatients, mais elle n'est qu'effleurée en surface.

Commencer le journal d'une fille débordée c'est entrer dans un univers rafraîchissant presque réconfortant avec cette sensation de prendre part à la reconstruction de cette femme au grand coeur. Entourée de ses amis, de ses parents et de ses soeurs, elle vous apportera de la satisfaction, du plaisir et de la bonne humeur.

À découvrir donc l'esprit léger sans aucune prise de tête.
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Juliette a des rêves plein la tête : une belle maison avec jardin, se marier dans une robe blanche, avoir sa petite famille bien à elle, mais la réalité est toute autre. La jeune femme est maman d'une petite Daisy. Elle fait 10 kg de plus qu'avant sa grossesse, et se retrouve à squatter une chambre chez ses parents depuis que son fiancé l'a trompée avec sa meilleure amie. Pas vraiment très glamour comme vie !
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En général, je n'aime pas le style "journal" mais là j'ai accroché. Les textes sont courts mais assez réalistes. C'est une histoire d'amour, pas de surprise mais c'est bien mené et même si les "méchants" sont un peu outrés, on se laisse prendre par l'histoire. Les héros sont sympathiques, les seconds rôles farfelus et l'histoire bien menée. Un seul bémol, toutes les marques de produits citées sont typiquement anglaises et pas vraiment connues en France.

Avec Journal d'une fille débordée, nous suivons Juliette durant une année complète à travers ses journées souvent bien remplies.
Entre Nick, son futur mari, qui ne trouve pas de boulot fixe, leur fille qui est difficile et ne fait toujours pas ses nuits, Helen, sa belle-mère, qui s'incruste un peu trop, … , des journées bien remplies comme vous le constatez. Au départ, je m'attendais à une lecture plus légère, mais avec la vie que mène Juliette, ce n'est pas simple de tout le temps rire ou même d'en trouver le temps. Cette vie pourrait être celle de n'importe qui, vous, moi, notre voisine, notre soeur, une amie, c'est cela qui rend ce livre plus réel que fictionnel. le journal de Juliette pourrait être le mien ou le vôtre. Il pourrait être aussi celui de l'auteure, pourquoi pas.
Une chose m'a pourtant perturbée durant ma lecture, non pas le fait que ce soit présenté en journal intime, mais bien le fait que la tournure des phrases est parfois étrange, comme s'il manquait des mots. Ce n'est pas que ce soit une grosse gêne, mais c'est un peu perturbant au début, par la suite on se fait au style de l'auteure, et le reste passe tout seul. Par contre, c'est vrai qu'il y a moins d'humour que ce à quoi je m'attendais avant de débuter le livre, mais bon, quand on y regarde bien, dans notre vie il y a plus de moment sérieux que des moments de grosses rigolades.
Eh puis il y a Alex, oh oui Alex, j'en veux bien un dans mon entourage … il est charmant, plein d'attentions envers Juliette, bourré de charisme, les femmes ne peuvent s'empêcher de se retourner sur son passage, et pour ne rien gâcher, il est riche. Si Juliette ne voit en lui qu'un ami, lui c'est totalement différent en ce qui le concerne, il faudrait peut-être qu'elle se décide à ouvrir les yeux, elle pourrait enfin voir que le bonheur peut se trouver en face d'elle alors qu'elle ne le remarque pas et ce depuis des années.
Avec ce premier tome, nous sommes dans le ton pour la suite, j'espère juste qu'il y aura un peu plus de moments où l'humour sera présent, c'est ce qui m'a le plus manqué ici. Bien que ce ne soit pas vraiment gênant, cela rend la lecture un peu moins légère que ce que l'on pourrait s'attendre à découvrir en lisant le résumé.

Malgré une première partie qui a mis du temps à démarrer, quand la vie de Jules bascule, le lecture devient plus intéressante. J'ai particulièrement apprécié sa relation avec Alex, un ami d'enfance. Journal d'une fille débordée est un roman bien sympathique, une lecture détente avec un personnage à la vie bien animée. C'était drôle et divertissant.
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Comme vous le savez peut être , les Editions J'ai Lu ont lancé en mai dernier une nouvelle collection Lj qui nous propose des romances pétillantes et fraîches qui nous promettent un bon moment de détente. Avec Journal d"une fille débordée, nous allons passer un an en compagnie de personnages atypiques qu'on va adorer ou détester.

Juliette Duffy est à un tournant décisif de sa vie : mère de la petite Daisy, elle va bientôt épouser l'homme qu'elle aime . Nick Spencer a donc fait sa demande mais quand on le découvre au quotidien , ce héros n'envoie pas du rêve. Acteur raté , on ne peut pas dire qu'il brille par son efficacité à la maison ou quand il passe des auditions. Je dirais même qu'il est un assisté qui profite de la vie et qui a de nombreux problèmes à régler. de plus, il ne s'investit pas dans sa vie de famille , que ce soit dans l'éducation ou les soins apportés à la petite Daisy. de plus , il a une mère très très envahissante car Helen se mêle absolument de tout et a un jugement très corrosif sur tout. C'est simple, son fils est la 5ème merveille du monde et Juliette ne afit rien comme il faut. Elle ne cesse de la critiquer et de l'abaisser elle et sa famille. Il faut dire qu'ils ne sont pas du même monde et que Juliette a une vie à Londres bien différente de celle à Oakley.

J'ai passé un bon moment avec Juliette car elle va tenter de reprendre sa vie en main mais ce ne sera pas une tâche facile car elle n'est pas bien dans son corps et elle n'est pas bien dans sa tête non plus. La naissance de Daisy a bouleversé sa vie et elle va tenter de s'en sortir du mieux qu'elle peut. La privation de sommeil et ses écarts de poids vont forcément jouer sur son moral. Si elle ne peut pas compter sur son futur mari , elle sait que sa soeur Laura saura être présence en cas de besoin , tout comme son père et sa mère ( Shirley et Bob) qui tiennent le pub local. Comme je vous le disais ce sont deux mondes qui entrent en collision mais j'ai largement préféré le côté loufoque des Duffy que l'aspect bourgeois et hautain des Spencer. Les obstacles seront donc nombreux sur la route de Juliette qui va vivre une année haute en couleur et en rebondissement. Parviendra t-elle à surmonter les peines et la souffrance? Sur qui pourra t-elle vraiment compter?

Comme je vous le disais , Nick n'est pas un personne qui envoie du sex appeal ou du charme. Il s'enlise dans une vie d'illusion où sa mère s'impose et impose ses idéaux dépassés . Si seulement ce n'était que cela le noeuf du problème mais ce n'est pas le cas car on pourra ajouter la trahison aux nombreuses cordes que Nick a à son arc. Est il un bon papa? Je dirais que ce n'est pas le cas car il est lui même un gamin qui fait preuve d'un grand manque de maturité. Il ne parvient pas à se gérer lui même ou à gérer son foyer donc comment pourrait il gérer un bébé qui va avoir des troubles du sommeil et qui fera vivre de sacrés aventures à sa mère. Il sera donc mis en opposition à Alex Dalton qui évolue dans un autre monde et dans une autre sphère. Alex est quant à lui charmant et mystérieux. On va émettre des hypothèses vis à vis de ce personnage et j'ai été heureuse d'avoir bien vu là où l'intrigue allait nous mener. Il apparaît très furtivement dans l'intrigue mais sa présence fait toute la différence. Il sera une aide précieuse pour le mental de la jeune femme qui va peu à peu reprendre confiance en elle . Non seulement il va la valoriser mais il va l'aider à réaliser un exploit physique en la coachant pour participer à un marathon. de plus sa relation avec sa soeur Jemina est tout simplement adorable car la jeune fille est très intelligente et très ouverte aux autres.

Bref, je ne vous en dis pas plus pour vous laisser la surprise de la lecture mais sachez que j'ai passé un bon moment de lecture avec le roman de Suzie K Quinn. Ses personnages nous embarquent dans une année folle de surprises de rebondissements et de découvertes. le journal d'une fille débordée est un comédie romantique très sympathique qui nous fait forcément penser à Bridget Jones .
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Des poignées d'amour qu'elle aimerait voir disparaître, la balance prête à éclater lorsqu'elle regarde les kilos qui s'affichent (même après avoir pipi), un fiancé qui a pris la poudre d'escampette et des copines givrées, voilà le quotidien d'une jeune femme débordée. Débordée par l'existence, par ses émotions, par ses rêves et par une gigantesque volonté d'être heureuse. A tout prix. N'importe comment. En s'accrochant à l'existence à pleines mains, en mordant chaque instant. Néanmoins, la réalité n'a rien d'une sinécure. de retour chez maman et papa après une histoire sentimentale qui a mal tourné, rien n'est plus beau que de se laisser envahir de chimères et de s'imaginer ailleurs que dans une chambre minuscule, à s'éclater en réalisant de succulents gâteaux, à se marier et à avoir un bébé aussi mignon que gentil. Suzy K. Quinn signe un journal qui croque les petits éléments qui sculpte les saisons et nous propulse dans un univers à la fois drôle et décalé, invitant les lecteurs à ausculter le monde cabossé et revigorant d'une héroïne plutôt sympa et qui ressemble à tellement de filles que je connais.

le journal d'une fille (pas si) débordée ou plutôt celui d'une fille débordée émotionnellement. Avec le titre, la couverture, je m'étais attendu à du pur chick-lit et à une héroïne super moderne, la mum working girl plein d'humour, dynamique, etc. et à un rythme de fou de son univers. le livre est plutôt une romance so british et moderne.
L'héroïne est une fille au foyer qui a pas le bon mec et a un peu de mal à gérer l'après grossesse. Même si elle évolue (lentement) au cours du roman, elle passe les trois quart de l'histoire à chialer ou à chouiner. du coup, j'ai eu un peu de mal à m'y intéresser. Sans compter que je l'ai trouvé un peu nunuche. Heureusement elle a une famille, même si elle est un peu prolo excentrique, en or, prête à tout pour ses membres et un milliardaire qui arrive à son secours dès qu'elle siffle ou presque.
ça reste une lecture sympathique mais si le roman avait été plus long, je pense que j'aurai laissé tomber quand même. Cela manque un peu d'action pour moi.

TRÈS BONNE LECTURE

J'ai beaucoup aimé suivre les aventures de Juliette : jeune londonienne de 28 ans, elle vient d'avoir un bébé (une jolie petite Daisy), a un irresponsable fiancé, une belle-mère affreuse et une famille à moitié dingo. Alors quand sa vie amoureuse part en éclat, elle décide de retourner vivre chez elle, mais les désagréments ne font que commencer... le moins qu'on puisse dire, c'est que Juliette va passer une année difficile.

Le style des deux livres est un peu haché vu qu'il s'agit d'un véritable journal où Juliette écrit chaque jour ses déboires, ses joies, ses chagrins. Cela peut paraître légèrement étonnant au début, mais on s'y fait très vite et ça a rendu ma lecture addictive. J'ai vraiment beaucoup aimé ce format. Je n'irais pas jusqu'à dire que ça me rappelle "Le journal de Bridget Jones" (qui est indétrônable à mes yeux) mais c'est dans le même style, même si dans l'ensemble ça manquait un peu d'humour. Attention, je ne dis pas qu'il n'y en a pas (je vous rassure, Juliette doit faire face à des situations cocasses) mais j'en aurais voulu un peu plus.

En tout cas, je me suis beaucoup attachée au personnage de Juliette : elle est drôle, a de la répartie, une volonté, force incroyable et une certaine sensibilité. J'ai adoré suivre son point de vue, je ne m'ennuyais absolument pas. J'ai aussi beaucoup aimé Daisy, sa petite fille, qui est une sacré chipie mais on ne peut que l'aimer. Les personnages secondaires sont tout aussi important que Juliette : j'ai adoré sa famille. de sa mère dingo à son père poule et calme, à sa soeur un peu neuneu, son autre soeur posée, son neveu pile électrique. Une famille vraiment attachante.

Le point un peu négatif se situe au niveau des deux personnages masculins : l'ex de Juliette, Nick, est absolument irresponsable mais surtout tellement louuuurd, qu'il en est insupportable ! Quant à Alex, le bel ami d'enfance, il aurait pu être bien, mais j'ai trouvé qu'il était trop distant au niveau de l'expression de ses sentiments mais pire encore, c'est un horrible jaloux. Dans le sens jalousie maladive car il "ne supporte pas l'existence de Nick". Bref, du coup ses réactions m'ont clairement gonflé. Heureusement, Juliette n'est pas du genre à se laisser faire !

A part cela, c'était une très bonne lecture que je recommande si vous avez le genre ☺.
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