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Citations sur Une aventure de Richard Bolitho, tome 9 : Toutes voil.. (11)

Si jeunesse savait, si vieillesse pouvait.
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Les linceuls n'ont pas de poches, ni les cercueils de coffre-fort.
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A présent, Delavai était mort. Paice l'avait vu monter sur l'échafaud, marche après marche, par cette belle après-midi. Pas une voix ne s'était, élevée pour lancer des injures ou des huées ironiques : la foule n'était là que pour se divertir. Mon dieu ! si on invitait les gens à venir assister à des séances de tortures collectives sur la place du village, il ne resterait pas un siège de libre.
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Bolitho vit que tout un côté du gaillard de la goélette avait été arraché. La horde des marins qui attendaient les abordeurs formaient un tas sanglant, un enchevêtrement de membres qu'agitaient des spasmes convulsifs; on eût dit les organes d'un géant démembré. La décharge de mitraille tirée par la couleuvrine de poupe avait transformé le pont en charnier.
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Les gens comme Marcuard, se demanda-t-il, comment voient-ils une guerre ? Des pavillons gagnés ou perdus, un investissement profitable ou gâché ? Sûr qu'ils ne mesuraient pas les avantages et les inconvénients d'un conflit en terme de chair à canon et de corps estropiés.
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(...) ces matelots ne possédaient rien, mais ils pouvaient tant donner quand on savait les prendre! (p.254)
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Là était le vrai courage: craindre de montrer sa peur, plus que la peur elle-même.(p.330)
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On ne doit jamais écraser de son autorité ceux qui ne peuvent s'en protéger.
(p.305)
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Bolitho n'avait pu déchiffrer que trois mots: toutes voiles dehors.
Par la suite, il se rappela n'avoir éprouvé à cet instant ni inquiétude, ni surprise, mais au contraire un grand soulagement. Enfin, l'heure était venue. Enfin on avait besoin de lui. (p.225)
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Depuis l'âge de douze ans, son esprit et son corps s'était endurci: il avait connu des années de quart par tous les temps, des heures d'inquiétude quand on est réveillé d'urgence pour aller prendre des ris en pleine tempête ou pour repousser l'ennemi qui monte à l'abordage. Telle était la vie qu'il avait menée, la seule qu'il connût. (p.150)
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