Dark eyes

Wally vit dans la rue à New York avec une bande de copains avec qui elle traficote. Alors qu'elle s'est fait voler son permis par une de ses copines (retrouvée morte d'ailleurs) elle décide de s'en faire refaire un sur le marché noir. C'est alors qu'elle tombe sur des documents personnels dont une lettre de sa mère biologique d'origine russe qui aurait trempé dans la mafia.
S'ensuit alors une course contre la montre pour retrouver cette mère avant son père (évadé d'un centre d'enfermement en Russie grâce à son fils) qui veut la tuer pour ce qu'elle lui a fait et ce qu'elle sait.

Un bon thriller que l'on a plaisir à lire avec de multiples rebondissement assez crédible.
La fin qui prend juste des raccourcis parfois peu cohérents.

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Wally vit dans la rue à New York avec une bande de copains avec qui elle traficote. Alors qu'elle s'est fait voler son permis par une de ses copines (retrouvée morte d'ailleurs) elle décide de s'en faire refaire un sur le marché noir. C'est alors qu'elle tombe sur des documents personnels dont une lettre de sa mère biologique d'origine russe qui aurait trempé dans la mafia.
S'ensuit alors une course contre la montre pour retrouver cette mère avant son père (évadé d'un centre d'enfermement en Russie grâce à son fils) qui veut la tuer pour ce qu'elle lui a fait et ce qu'elle sait.

Un bon thriller que l'on a plaisir à lire avec de multiples rebondissement assez crédible.
J'ai simplement été déçue par la fin qui prend des raccourcis parfois peu cohérents.

Si la lecture n'a pas été laborieuse, elle n'en a pour autant pas été transcendante. le côté "scénariste hollywoodien" de l'auteur était justement trop présent, et sans les effets spéciaux qui vont avec dans les salles obscures, je n'ai pas réussi à vivre l'histoire.

Ce thriller young adult est assez bien géré et navigue entre une Russie mafieuse et un nouveau départ en plein coeur de New York. Wally ne se souvient plus de ses origines exactes, elle n'avait que cinq ans quand elle a rejoint les États-Unis avec sa famille adoptive. En pleine crise identitaire, en plus de celle de l'adolescence, elle s'oppose systématiquement à sa mère maintenant divorcée - au point où elle préfère vivre dans la rue plutôt que de continuer à souffrir des mensonges occultant son passé. Son tempérament fier et têtu, ses instincts et son intelligence lui permettent toutefois de ne pas souffrir de ce mode de vie, et elle est même assez débrouillarde pour gérer un petit groupe constitué de Tevin, Jake et Ella, trois adolescents de son âge complètement perdus, et qui ont eu nettement moins de chance qu'elle dans la vie. Malgré son caractère autoritaire et (trop) révolté, Wally reste donc un personnage sympathique, mais son côté invulnérable a eu tendance à me gêner dans certains passages. J'ai trouvé qu'elle avait justement trop de ressources étant donné le cocon qu'on avait tissé autour d'elle en Amérique. Et je rejoins ici ma remarque sur le côté trop hollywoodien : Wally est ce genre d'héroïne à pouvoir traverser des déluges de balles sans s'en prendre une seule.

Mais ce qui m'a surtout empêchée de réellement m'impliquer dans ses mésaventures, c'est le manque d'approfondissement des personnages. La découverte de certains pans de leur histoire n'a pas suffi à ce que je m'attache à l'un d'eux, je me suis sentie "extérieure" à la trame, même dans ses moments les plus dramatiques. Je comprenais les enjeux, j'imaginais la douleur, mais ne la ressentais pas. L'histoire est là, mais je n'ai pas trouvé cette petite étincelle que je recherche dans un bon livre.

Tout repose sur les épaules de Wally : elle a besoin de découvrir ce qui est arrivé à sa mère biologique, de connaître ses origines, de comprendre les raisons de son abandon. C'est une quête typique et hautement compréhensible chez la grande majorité des enfants adoptés. Mais les choses se corsent quand elle comprend combien il est important qu'elle la retrouve avant le truand russe qu'elle a maladroitement amené sur ses traces. Elle s'engage dans une course contre la montre, mais a du mal à définir jusqu'où elle doit impliquer ses trois amis et petits protégés. Une course comprenant deux épreuves : découvrir l'identité de sa mère à partir du simple nom de Yalena Mayakova, et affronter le démon qu'elle a maladroitement réveillé.

La quête est pleine d'actions, de pistes qui se rejoignent, de chemins qui se séparent, mais le dénouement m'a laissée sceptique. J'ai eu du mal à avaler qu'une mère en arrive à un tel degré de mensonge et de souffrance - pour elle comme pour Valentina - pour une raison aussi.... légère. Je ne parle pas ici de la trame raccrochée à la mafia russe, mais bel et bien de celle ayant poussé Yalena à rester aussi longtemps dans l'ombre, mais il est difficile d'être plus explicite sur ce point sans spoiler... alors je laisse les amateurs de thriller, de courses-poursuites et d'armes à feu découvrir tout ceci par eux-mêmes et se faire leur propre opinion, puisqu'il y a tout de même quelques bons ingrédients scénaristiques !
Lien : https://dragonlyre.wordpress..

L'intrigue de base de ce roman ressemble a du déjà vu : une jeune fille est rattrapée par ses origines pour des raisons plutôt mystérieuses. Elle cherche alors à faire la lumière sur son passé. Pourtant j'ai trouvé que William Richter magnait les révélations et le suspens avec brio, n'en révélant jamais trop, juste un soupçon pour nous donner plus envie d'approfondir notre lecture.

Quant à Wally, elle est un personnage troublant. Elle aurait tout pour être heureuse (a priori) mais les secrets que semblent cacher sa famille lui pèse. A un tel point, qu'elle a déjà fugué depuis longtemps quand commence ce roman. Elle trouve dans sa bande de copain (2 garçons et 1 fille) une nouvelle famille, celle qu'elle a choisie ; et même si la vie n'est pas rose elle semble l'apprécier. L'arrivée de son père biologique, un mafieux russe qui vient de s'échapper de prison et qui la recherche à des fins malheureuses, vient tout remettre en cause.

On suit Wally mais aussi ses poursuiveurs, on voit le danger rôder alors que la jeune fille est insouciante, on voit l'étau se resserrer, l'intrigue se révéler. Enfin on croit. Parce que comme moi, vous croirez deviner, vous croirez savoir, vous croirez devancer Wally… et non ! Comme moi, vous vous laisserez mener par le bout du nez et vous adorerez ça. Un moment de détente prenant et plaisant. Il s'agit d'un tome 1 mais ce tome peut se lire de manière individuelle (si vous aimez les fins ouvertes).
Lien : http://boumabib.fr/2013/02/1..

un thriller palpitant dont le dynamisme va crescendo au fil des chapitres, une héroïne attachante et de nombreux rebondissements pour ce roman qui se lit en un souffle.
Lien : http://www.lirado.fr/dark-ey..

La première et quatrième de couverture attise la curiosité du lecteur. L'esthétique de la couverture est mixte : elle se dirige aussi bien vers les garçons que les filles. C'est un ouvrage que je présenterai dans les séances de lecture cursive : l'histoire tient la route , il y a de l'action.

p 7 : "Pour les shaw girls" : qui est-ce ?
J'aurai préféré un roman plus synthétique : l'action n'en aurait été que plus intense. Il ne fait pas parti de mes favoris : c'est de l'action pure, il n'y a pas vraiment de réflexion, d'analyses, d'aspects documentaires dans l'histoire.

Un super polar ! C'est enlevé, il y a du rythme. On s'attache à cette jeune fille pleine de ressources. Jusqu'à la fin il y a du suspens.