Quand Watson est stupéfait que son ami si brillant ne connaisse pas la composition du système solaire, Holmes lui expose la théorie suivante : « Voyez-vous, expliqua-t-il, le cerveau est comme un petit grenier d’abord vide. Notre affaire est de le garnir de meubles de notre choix. L’étourdi l’encombre de tout le fatras qu’il trouve sur son chemin ; et pour faire de la place, il se débarrasse de connaissances qui auraient pu lui être utiles. […] Il importe donc beaucoup de ne pas laisser les connaissances superflues évincer celles dont on a besoin. »
Il y a toujours des fantaisistes de par le vaste monde. Sans eux nous nous ennuierions fort.
Je suis un cerveau, Watson. Le reste de mon individu n’est que l’appendice de mon cerveau.
Comme les criminels ont tendance à retourner sur le lieu de leurs méfaits, pendant que vous observez les lieux, partez du principe que vous y êtes vous aussi observé par le criminel. Abstenez-vous de toute vantardise concernant vos pouvoirs de déduction ou la nature élémentaire de l’affaire en cours, et conservez au contraire une apparence de frustration et de confusion.
Ce que vous faites n’a pas d’importance aux yeux du public […]. Ce qui compte, c’est ce que vous lui faites croire !
La vie, mon cher, est infiniment plus étrange que tout ce que l’esprit humain pourrait inventer.
Ma vie est un long effort pour m’évader des banalités de l’existence.
Je ne fais jamais d’exception. L’exception infirme la règle.
Vous connaissez ma méthode : elle est basée sur l’observation des riens.
Éliminez tous les autres mobiles, celui qui reste doit être le bon.