La rose de minuit

En ce début d'année, c'est un joli voyage entre l'Inde et l'Angleterre que nous propose les Éditions Charleston avec la réédition de ce superbe roman de Lucinda Riley, et c'est encore une très très belle réussite signée de l'auteure.

Ari l'arrière petit fils d'Anahita Chavan, s'envole pour le Devon à la suite d'une rupture amoureuse afin de retrouvé le fils disparu de son arrière grand-mère, il y rencontrera sur place Rebecca, actrice en tournage, avec qui il tentera de retrouvé la trace de son grand oncle, déclarer mort dans les années 1920, à partir d'une lettre écrite par Anahita.

C'est encore une histoire touchante et très addictive que nous découvrirons au fil des pages, entre amour et histoire de famille, Lucinda Riley nous touchera comme de sa merveilleuse plume intemporelle.

Conclusion : La rose de minuit est encore une véritable merveille de cette autrice aux multiples succès, on ne s'en lasse vraiment jamais et on aime vraiment beaucoup sa superbe façon de nous faire vibrer à travers tout ses romans. A lire absolument.

Rebecca Bradley, une actrice au sommet de sa gloire, se rend au domaine anglais d'Astbury Hall afin d'y tourner un film. Charmée par ce lieu plein d'histoire, loin du stress de New-York, des paparazzis et de son fiancé, elle y trouve une étrange sérénité. Mais, quand elle se découvre une troublante ressemblance avec Violet, la grand-mère de l'actuel propriétaire des lieux, elle décide d'en apprendre plus sur le passé de cette étrange famille. Dans sa quête, elle est aidée par Ari, un Indien qui tente d'en savoir plus sur son arrière-grand-mère, Anahita, qui a vécu là au début du XXe siècle. Avec Rebecca, il remonte peu à peu les traces du passé. Sombres secrets et mensonges : ce qu'ils vont découvrir va bouleverser leurs vies?

J'ai tout simplement adoré cette magnifique fresque multigénérationnelle qui m'a fait voyager de la campagne anglaise aux luxueux palais indiens pendant plus de 600 pages, sans qu'aucune lassitude ne vienne s'installer.

L'auteure reprend le même procédé narratif, très efficace, que sans sa saga Les sept soeurs, avec des allers-retours dans le temps mettant en scène différents protagonistes et permettant, progressivement, de lever le voile sur l'histoire d'Anna et de la famille Astbury. le décor est magnifiquement décrit et on peut presque voir les personnages prendre vie sous nos yeux.

Mélangeant histoire, cinéma, secrets de famille, trahisons, complots et romance, La rose de minuit nous offre un moment de lecture magique. L'intrigue, construite sur une double temporalité, est fluide et portée par une écriture toujours aussi belle et agréable. Chaque personnage est attachant et complexe, apportant son lot de secrets.

J'ai trouvé les sociétés aristocratiques anglaises et indiennes du début du XXème siècle particulièrement bien décrites. Les difficultés de Rebecca face aux médias et aux dérives du monde du cinéma sont également bien exploitées. Des thèmes comme la condition de la femme, le racisme, l'addiction et les amours impossibles sont abordés avec beaucoup de finesse et de sensibilité.

Ce roman est un énorme coup de coeur.

Je vous épargne le résumé, car il m'est tout simplement impossible de condenser ce roman foisonnant. Je glisse donc lâchement la présentation de l'éditeur en commentaire. Il est suffisant, et professionnel ;)

Non, moi, je vais vous parler de mon ressenti.

Une première rencontre avec la plume de Lucinda Riley, et quelle rencontre ! Il ne m'aura pas fallu longtemps pour plonger tête baissée dans l'ambiance de ce grand roman et le quitter 700 pages plus tard, comme un peu sonnée.

La Rose de Minuit, c'est un émerveillement pour les sens qui voyagent d'Inde en Angleterre. A travers les pages, on ressent tout, les émotions, la météo, les fragrances. On déambule dans d'incroyables domaines et on chevauche à travers les plaines. Qu'importe l'époque, on est là, au coeur du roman !
On vit, pleinement, aux côtés d'Anni, les coups du destins qui la suivent et dont elle se relève. Mais jusqu'à quand ?
On s'inquiète, nécessairement, pour Rebecca, qui se retrouve dans ce domaine dont le charme ne suffit pas à faire diversion sur cette sensation tenace que quelque chose va de travers.

Comme ces deux femmes, nos sens sont en alerte, notre instinct redoute autant les signes d'un malheur à venir qu'entend Anni, que ce parfum qui flotte dans la chambre de Rebecca.

Le dénouement, les dénouements, car il y a une fin pour chaque intrigue, à chaque époque, sont l'apogée d'une montée en tension parfaitement maîtrisée.

Le coeur en fête, le coeur en miette, j'ai lu mon premier Lucinda Riley, et je l'ai adoré. Son empreinte tenace ne me lâche pas… C'est un coup de foudre que je rêverais de voir adapté en une série télévisée fidèle. Ce serait grandiose.

Plonger entre les lignes de Lucinda Riley, c'est l'assurance d'y retrouver une plume captivante et hautement romanesque qui nous transporte dans une aventure fabuleuse aux côtés de personnages emplis d'un éclat vibrant.

Les époques et les destins s'entrelacent, dessinant un voyage flamboyant qui nous émerveille de bout en bout. L'évasion procurée est sans pareille et nous réserve de multiples facettes hautes en couleur à mesure que l'intrigue dévoile ses mystères.

Le foisonnement de ces vies et de ces destins croisés, entremêlés, parfois brisés, m'a offert un moment suspendu. Tout un monde s'est éveillé devant mes yeux, et quel bonheur de rencontrer ces femmes éclatantes, courageuses, résilientes, qui ont su ajuster les lignes de leur destin avec une force sans faille .

Dans ce roman, chaque personnage mène une quête personnelle qui converge vers une même direction : trouver sa vérité et déterminer le sens de sa vie, ce qui la fonde. C'était infiniment envoûtant de suivre ces destinées aussi haletantes que poignantes.

De l'Inde chatoyante où les paysages et les majestueux palais ensorcellent jusqu'à la douceur de la campagne anglaise, j'ai voyagé, rêvé, vibré, je me suis échappée du monde .
Lucinda Riley nous offre une émouvante fresque romanesque où se mêlent les destins de femmes exaltants, la puissance éternelle de l'amour, l'amitié et la force des liens familiaux qui transcendent l'espace et le temps.

Quelle histoire! Une fois de plus, la magie Lucinda Riley a opéré. Cette lecture m'a chamboulé. Transportée entre l'Inde et l'Angleterre, j'ai immédiatement été happée par la merveilleuse histoire d'Anahita. Oh, douce Anahita, ce personnage si sensible et touchant qu'il est impossible de ne pas s'y attacher au fil des pages. A travers les écrits laissés à son arrière-petit-fils, Ari, elle nous livre son histoire et nous entraîne dans la quête de sa vie : retrouver son fils. A travers les chapitres, nous remontons le temps et découvrons toute la vie captivante de ce personnage. Une histoire de vie semée de drames, d'épreuves douloureuses et de rencontres importantes.

Lucinda Riley parvient parfaitement à nous transporter entre les époques et les lieux. La double temporalité du roman permet une immersion plus grande dans l'histoire d'Anahita et de ses proches. J'ai beaucoup aimé le parallèle entre les périodes passées et celles d'aujourd'hui, ainsi que le personnage de Rebecca. Au coeur de toutes les périodes, un lieu incroyable : Astbury Hall. Une demeure qui cache bien des secrets, et qui ajoute un aspect mystérieux et romanesque à l'histoire générale.

C'est une histoire bouleversante sur les liens transgénérationnels, la condition de la femme, et la puissance des liens amoureux. L'autrice nous offre une fin émouvante qui ne laisse pas indifférent.

Vous l'avez compris, j'ai été complètement séduite. Des personnages touchants et inoubliables, une intrigue passionnante et une plume si sensible : c'est un énorme coup de coeur !

Je serai bien restée quelques pages de plus aux côtés d'Anahita, et c'est avec un pincement au coeur que j'ai tourné la dernière page de ce magnifique voyage.

Comme toujours notre chère Lucinda sait manier les mots et les émotions à la perfection.
J'ai été touchée par ce roman et par l'histoire pure et douce qui y est contée.
Les pages se tournent toutes seules et c'est avec un pincement au coeur que j'ai refermé ce livre.
Entre Inde et Angleterre ; c'est avec beaucoup de justesse que la reine de la double temporalité nous fait voyager ; les faits historiques et les détails descriptifs plongent réellement le lecteur dans les différents univers. le passé et présent s'entremêlent à la perfection, rendant la lecture de plus en plus addictive au fil des pages.
Cette quête intergénérationnelle divinement bien menée laisse place à des histoires d'amours émouvantes. Et une fin qui ne laisse pas indifférent.
Je vous conseille de ne pas passer à côté de cette sublime histoire. 💜

Quand la célèbre actrice Rebecca Bradley passe les grandes portes en fer forgé d'Astbury Hall, le domaine anglais qui sert de lieu de tournage à son prochain film, elle éprouve immédiatement une curieuse sérénité, malgré le tourbillon des essayages et l'effervescence des prises. Jusqu'au jour où elle découvre sa troublante ressemblance avec lady Violet, la grand-mère de l'actuel propriétaire de la demeure. Et lorsqu'elle rencontre un jeune homme originaire de Bombay en quête d'informations sur son aïeule qui a vécu à Astbury Hall au début du XXe siècle, Rebecca perce peu à peu les secrets qu'abritent les vieilles pierres du manoir. Mais les ombres qui hantent la dynastie des Astbury pourraient bouleverser bien des destinées... Une étourdissante fresque multigénérationnelle, qui nous fait voyager des beaux manoirs de la campagne anglaise aux palais des maharadjahs du début du XXe siècle. 

Mon aventure en tant que lectrice Charleston commence de façon spectaculaire avec ce sublime roman de Lucinda Riley. Des parfums épicés de l'Inde à la grisaille de l'Angleterre, j'ai voyagé avec la plume de Lucinda Riley pendant plus de 600 pages sans ressentir de lassitude. le talent de conteuse de la regretter autrice n'est plus à démontrer ! Avec La rose de minuit, nous partons à la rencontre d'Anahita, jeune fille qui devient Dame de compagnie pour la princesse Indira peu avant la Première Guerre mondiale et qui partirons ensemble pour Londres. Nous plongeons au coeur du quotidien d'une maharani à l'époque du règne britannique en Inde. La façon dont Lucinda Riley trace le chemin d'Anahita est parfaitement maîtrisée pour que cent ans plus tard, Ari Malik son arrière-petit-fils découvre son histoire ainsi qu'un mystère entourant cette dernière. Ari finira par découvrir Astbury Hall, son énigmatique habitant, mais aussi Rebecca, jeune actrice qui tourne un long-métrage au sein même du château. Dans un décor magnifiquement décrit, l'histoire prend vie sous nos yeux, dessinant subtilement le passé qui lie deux familles par de sombres secrets. Mélangeant histoire, cinéma et secrets familiaux, La rose de minuit est un roman ambitieux, rythmé et fluide où chaque personnage apporte du dynamisme au récit. Alternant passé et présent, ce roman est un coup de coeur que je ne peux que vous conseiller ! 

❤️ Ce roman est un véritable coup de coeur !
✍🏻 Dès les premières lignes j'ai été happée par l'histoire que nous offre Lucinda Riley : une histoire de secrets de famille, de liens familiaux complexes et tout cela dans des environnements incroyables ! La plume est fluide et les dialogues apportent beaucoup de dynamisme. Je n'ai pas vu les pages passées. 😍
⏳L'alternance passé (1900) / présent (2011) est parfaitement maitrisée. Nous débutons en Inde, aux côtés d'Anahita qui fête ses 100 ans et confie une mission à Ari, son arrière-petit-fils. Parallèlement, nous rencontrons Rebecca, une actrice d'Hollywood envoyée à Astbury Hall en Angleterre pour tourner un film dont l'histoire se déroule dans les années 1920.
🎬 J'ai adoré découvrir la réalisation d'un film ainsi que ce qu'implique la célébrité grâce à Rebecca, une jeune femme qui cherche sa place face à la sollicitation permanente des médias. Astbury Hall représente le grand manoir anglais tel qu'on se l'imagine, resté dans son jus, il renferme bien des mystères pour notre plus grand plaisir !
🌸 C'est dans la quête d'Ari que la vie d'Anahita se révèlera progressivement : une enfance en Inde où elle nouera une amitié forte avec Indira. Elevée par une famille royale, elle aura l'opportunité d'étudier en Angleterre. J'ai beaucoup aimé découvrir les différentes phases de sa vie, suivre son évolution dans une Inde exotique aux décors dignes des milles et une nuit.
🤗 J'ai aimé chacun des personnages : la sagesse et la loyauté d'Anahita, la force de Rebecca et l'ambition et la bienveillance d'Ari. Ils me manquent déjà...
❤️ Une histoire riche et immersive extrêmement bien travaillée qui nous fait voyager dans le temps et l'espace aux côtés de personnages attachants ! le passé et le présent ne cessent de se croiser et de nourrir le suspense. La fin est émotionnellement puissante car le tragique s'invite mais également l'espoir. Un livre que je vous recommande ! 🥰

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Astbury Hall est idéal pour servir de décor au prochain film de l'actrice Rebecca Bradley. Et l'occasion pour elle de s'éloigner de la pression médiatique. Mais les mystères habitent le manoir… Aidée d'un homme cherchant des infos sur sa grand-mère y ayant vécu dans le passé, ils vont tenter de percer les secrets d'Atsbury…

Je ne suis pas une grande aficionado de Lucinda Riley, même si j'ai apprécié les quelques romans que j'ai lus d'elle jusqu'ici. Alors, j'avais à la fois hâte et peur de démarrer l'aventure avec ce roman. Et ça été une excellente lecture.

On alterne ici entre différentes périodes, voyageant entre l'Inde et l'Angleterre avec un panel de personnages pour certains attachants et d'autres que j'ai adoré détester. le vrai plus de cette histoire, c'est sans hésiter le personnage d'Anni, aussi passionnée que passionnante. C'est parfaitement le genre d'héroïne que j'adore. A la fois dévouée, forte, courageuse, émouvante et attachante. Elle m'a émue dès les premières pages et j'ai adoré la suivre au fil des années.

Et puis, il y a le présent, où l'on se retrouve plongé dans le monde du cinéma en compagnie de Rebecca et de cet énigmatique Anthony, lord du manoir d'Atsbury Hall. Et justement ce manoir, c'est presque un personnage à part entière. Si bien décrit qu'on avait l'impression d'arpenter les pièces au gré des époques.
C'est un livre très complet qui aborde brillamment différentes coutumes à différentes périodes avec de belles descriptions de l'Inde et ses maharadjas par le biais d'Anni et Indira. Ce n'est pas un pays qui m'attire plus que ça, mais à travers leurs yeux, je l'ai trouvé fascinant.

Malgré les presque 700p, je ne me suis pas ennuyée une seconde tant j'ai aimé être plongée dans la vie de ces personnages hauts en couleur qui m'ont fait voyager autant qu'ils m'ont émue. Une histoire magnifique et une belle découverte qui nous permet de démarrer l'aventure sur les chapeaux de roue !
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Première ENC et premier coup de coeur (pour à peu près toute l'équipe des lectrices d'ailleurs!).

J'ai adoré cette lecture qui est fantastique.
L'auteure nous permet de voyager entre l'Inde et l'Angleterre. Nous sommes plongés dans une multitude de saveurs, de couleurs et d'odeurs.
Lucinda Riley m'a conquise dés les premières pages, j'ai été complètement captivée par cette histoire. Ce roman est d'une justesse rare.
La plume nous transporte, est prenante, et est si belle qu'on penserait être devant un film.
Une histoire familiale emplie de secrets, de non dits, de mystères et d'amour.

Roman chorale, roman à double temporalité. Il a tout pour plaire!

On y suit cette jeune et belle actrice, Rebecca, qui pour les besoins d'un film passe le portail d'Astbury Hall. Et elle s'y sent bien. Très bien. Jusqu'à ce qu'elle voit le portrait de la grand mère du propriétaire. Son portrait craché. Elle veut connaître l'histoire de cette famille.
Elle sera aidé par Ari, qui, en remontant ses origines se voit arriver à Astbury Hall. Ils vont donc tout faire pour découvrir les secrets très bien cachés de cette demeure et de cette famille.