Citations sur Percy Jackson et les Olympiens, tome 1 : Le Voleur de.. (173)
Ce qui appartient à la mer retournera toujours à la mer.
J'ai soudain ressenti une vive nostalgie pour quelque chose que je n'avais jamais connu.
Il m'a regardé tristement, comme s'il choisissait déjà les fleurs qui me plairaient le plus pour mon cercueil.
- Mais c'est votre famille ! a protesté Annabeth.
Arès a haussé les épaules :
- C'est ce qui donne les meilleures guerres. Les plus sanglantes. Rien de tel que de regarder sa famille s'entredéchirer, comme je dis toujours.
C'est tout ça ce qui me rend triste. (Il a montré du doigt les détritus qui jonchaient sur le sol.) Et le ciel. On ne peut même pas voir les étoiles. Ils ont pollué le ciel. C'est une époque terrible pour un satyre.
Je t'ai apporté un destin de héros, et un destin de héros n'est jamais heureux. Il n'est jamais rien d'autre que tragique.
Je suppose que les morts n'avaient pas à se préoccuper de risques mineurs comme se faire écraser par une stalactite de la taille d'une fusée d'appoint.
-Ça ne marche que pour les animaux sauvages, a expliqué Grover.
-Alors ça n'agirait que sur Percy, a dit Annabeth.
-Hé ! ai-je protesté.
J'ai eu envie de me noyer. Seul problème : j'étais immunisé contre la noyade.
-Il est encore tellement petit pour son âge...
-Quel âge a-t-il ?
-Oh, vingt-huit ans.
-Quoi ! Et il est en sixième ?