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Citations sur Percy Jackson et les Olympiens, tome 1 : Le Voleur de.. (173)

« - Tu parles comme si… tu avais vécu la même chose ?
- C’est le cas de presque tous les pensionnaires. Si tu n’étais pas comme nous, tu n’aurais pas survécu au Minotaure, et encore moins à l’ambroisie et au nectar.
- L’ambroisie et le nectar ?
- La nourriture et la boisson que nous t’avons données pour te fortifier. Si tu étais un gosse normal, ça t’aurait tué. Ton sang se serait enflammé, tes os se seraient changés en sable et tu serais mort. Regarde les chose en face : Tu es un sang-mêlé. »
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- Prends ça, c'est une arme puissante. [Chiron]
- c'est un stylo. [Percy Jackson]
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La mer n'aime pas être contenue.
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- Je ne dis pas bonjour à un caniche rose, ai-je protesté. Laissez tomber.
- Percy, a dit Annabeth. J'ai dit bonjour au caniche. Tu dis bonjour au caniche.
Le caniche a grondé de plus belle.
J'ai dit bonjour au caniche.
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p.397.
- Je vais être gentil avec toi, petit voyou. Je te donne cinq minutes pour emballer tes affaires et fiche le camp. Après, j’appelle la police.
- Gaby ! a plaidé ma mère.
- Il a fugué, a dit Gaby. Pas la peine qu’il revienne.
Il me démangeait de décapuchonner Turbulence, mais même si je le faisais, la lame ne blessait pas les humains. Et Gaby dans l’acception la plus large du mot, était humain.
Ma mère m’a attrapé par le bras.
- S’il te plaît Percy, viens. Allons dans ta chambre.
Je l’ai laissé m’entraîner, encore tremblant de rage.
Ma chambre croulait sous le foutoir de Gaby. Il y avait des tas de batteries de voiture usagées, un bouquet de fleurs fanées avec une carte de condoléances de la part de quelqu’un qui avait vu son interview dans l’émission de Barbara Walters.
- Gaby est contrarié, c’est tout, chéri, m’a dit maman. Je lui parlerai plus tard. Je suis sûre que ça va s’arranger.
- Ça ne s’arrangera jamais, maman. Pas tant que Gaby sera là.
Elle a tordu nerveusement les mains.
- Je peux... je t’emmènerai au travail avec moi pendant le reste de l’été. À l’automne, peut-être qu’on trouvera une autre pension...
- Maman.
Elle a baissé les yeux.
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p.388-9.
J’ai eu l’impression que Poséidon ne savait pas vraiment quoi penser de moi. Il n’avait pas déterminé s’il était heureux de m’avoir pour fils ou non. Bizarrement, j’étais content que Poséidon soit si distant. S’il avait essayé de s’excuser, s’il m’avait dit qu’il m’aimait, ou même souri, ça m’aurait paru faux. Comme ces pères humains qui trouvent une raison boiteuse pour justifier leur absence.
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p.286.
Toujours est-il qu’il m’a dit qu’il aimerait me la donner. Il s’est excusé de s’être comporté comme un crétin. Il m’a dit qu’il m’aimait et que je lui manquais. Il voulait que je rentre vivre à la maison avec lui.
- Ça ne me paraît pas si mal.
- Ouais... ben le problème. C’est que je l’ai cru. J’ai essayé de rentrer à la maison pour l’année scolaire, mais ma belle-mère n’avait pas changé d’un poil. Elle ne voulait pas que ses enfants se retrouvent en danger en habitant avec une anormale. Des monstres attaquaient, on se disputait. D’autres monstres attaquaient, on se disputait encore. Je n’ai même pas tenu jusqu’aux vacances de Noël. J’ai appelé Chiron et je suis rentré direct à la Colonie des Sang-Mêlé.
- Tu crois que tu réessayeras de vivre avec ton père, un jour ?
Annabeth évitait mon regard.
- Je t’en prie. Je ne suis pas maso.
- Tu ne devrais pas renoncer, lui ai-je dit. Tu devrais lui écrire une lettre, par exemple.
- Merci du conseil, a-t-elle dit froidement. Mais mon père a choisi avec qui il veut vivre.
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p.261.
- Vous lui avez dit qu’Hadès avait volé l’éclair ?
- Bien sûr. Faire porter le chapeau à quelqu’un d’autre pour déclencher une guerre, c’est une ruse vieille comme le monde. C’est celle que je préfère. Dans un sens, c’est à moi que tu dois ta petite quête.
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p.231.
Elle tripotait une chevalière d’homme en or de l’université de Harvard qui était enfilée avec les perles. Il m’est venu à l’esprit que ça devait être celle de son père. Je me suis demandé pourquoi elle la portait si elle le détestait autant.
- Il n’en a rien à faire de moi, a-t-elle dit. Sa femme, ma belle-mère, me traitait comme un monstre. Elle ne me laissait pas jouer avec ses enfants. Mon père faisait exactement comme elle. Si jamais il arrivait quelque chose de dangereux - tu sais, un problème de monstres -, ils me regardaient tous les deux d’un œil plein de reproche, l’air de dire : « Comment oses-tu mettre notre famille en danger ? » Finalement, j’ai compris le message. Je n’étais pas désirée. Je me suis sauvée.
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p.151.
Même Clarisse gardait ses distances, malgré ses regards venimeux qui disaient clairement qu’elle m’aurait volontiers tué pour avoir cassé sa lance magique. J’aurais aimé qu’elle m’engueule, qu’elle me frappe, n’importe quoi. J’aurais préféré devoir me bagarrer tous les jours, plutôt que d’être ignoré.
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