Citations sur Percy Jackson et les Olympiens, tome 1 : Le Voleur de.. (173)
« — Tu crois qu’on peut m’acheter, graine de dieu ? Et… euh par simple curiosité, combien as-tu là ?
— Beaucoup, ai-je fait. Je parie qu’Hadès ne te paie pas assez pour un boulot exigeant comme le tien.
— Oh, et encore, tu n’en connais pas la moitié. Que dirais-tu de baby-sitter ces esprits à longueur de journée ? Toujours les mêmes rengaines, les « S’il vous plaît, faites que je ne sois pas mort », « S’il vous plaît, laissez-moi traverser gratuitement ». Je n’ai pas eu d’augmentation depuis trois mille ans. Tu crois que c’est bon marché, un costume comme ça ?
— Vous méritez mieux, ai-je renchéri. Un peu de gratitude. Du respect. Un bon salaire.
À chaque mot, je déposai une pièce d’or de plus sur le bureau. »
« — Percy, je te présente Hortensia. Hortensia, Percy.
Je me suis tourné vers Annabeth, m’attendant à la voir rire de cette farce qu’ils me faisaient, mais elle avait l’air terriblement sérieuse.
— Je ne dis pas bonjour à un caniche rose, ai-je protesté. Laissez tomber.
— Percy, a dit Annabeth. J’ai dit bonjour au caniche. Tu dis bonjour au caniche.
Le caniche a grondé de plus belle.
J’ai dit bonjour au caniche. »
« — Ce n’étaient pas des vieilles dames, a dit Grover. C’étaient les Parques. Sais-tu ce que cela signifie, le fait qu’elles soient apparues devant toi ? Elles ne le font que lorsque tu vas… lorsque quelqu’un va mourir.
— Une seconde. Tu as dit « tu ».
— Non. J’ai dit « quelqu’un ».
— Tu voulais dire « tu ». Genre « moi ».
— Je voulais dire « tu » genre « on », genre « quelqu’un ». Pas forcément toi. »
J'aurais aimé qu'elle m'engueule, qu'elle me frappe, n'importe quoi. J'aurais préféré me bagarrer tous les jours, plutôt que d'être ignoré.
𝑱𝒆 𝒕'𝒂𝒊 𝒂𝒑𝒑𝒐𝒓𝒕𝒆́ 𝒖𝒏 𝒅𝒆𝒔𝒕𝒊𝒏 𝒅𝒆 𝒉𝒆́𝒓𝒐𝒔 𝒆𝒕 𝒖𝒏 𝒅𝒆𝒔𝒕𝒊𝒏 𝒅𝒆 𝒉𝒆́𝒓𝒐𝒔 𝒏'𝒆𝒔𝒕 𝒋𝒂𝒎��𝒊𝒔 𝒉𝒆𝒖𝒓𝒆𝒖𝒙. 𝑰𝒍 𝒏'𝒆𝒔𝒕 𝒋𝒂𝒎𝒂𝒊𝒔 𝒓𝒊𝒆𝒏 𝒅'𝒂𝒖𝒕𝒓𝒆 𝒒𝒖𝒆 𝒕𝒓𝒂𝒈𝒊𝒒𝒖𝒆.
𝑬𝒏 𝒄𝒉𝒆𝒎𝒊𝒏, 𝒋𝒆 𝒔𝒖𝒊𝒔 𝒂𝒖𝒔𝒔𝒊𝒕𝒐̂𝒕 𝒓𝒆𝒏𝒕𝒓𝒆́ 𝒅𝒂𝒏𝒔 𝒖𝒏 𝒂𝒓𝒃𝒓𝒆 𝒆𝒕 𝒋𝒆 𝒎𝒆 𝒔𝒖𝒊𝒔 𝒇𝒂𝒊𝒕 𝒖𝒏𝒆 𝒃𝒆𝒍𝒍𝒆 𝒃𝒐𝒔𝒔𝒆 𝒔𝒖𝒓 𝒍𝒆 𝒇𝒓𝒐𝒏𝒕. 𝑨 𝒂𝒋𝒐𝒖𝒕𝒆𝒓 𝒅𝒂𝒏𝒔 𝒍𝒂 𝒍𝒊𝒔𝒕𝒆 𝒅𝒆𝒔 𝒕𝒂𝒍𝒆𝒏𝒕𝒔 𝒒𝒖�� 𝒋𝒆 𝒏'𝒂𝒗𝒂𝒊𝒔 𝒑𝒂𝒔 : 𝒍𝒂 𝒗𝒊𝒔𝒊𝒐𝒏 𝒊𝒏𝒇𝒓𝒂𝒓𝒐𝒖𝒈𝒆.
Tu as des pensées bien maléfiques pour une chèvre
- Le Styx, a murmuré Annabeth. Il est tellement...
- Pollué, a dit Charon. Ça fait des milliers d'années que vous autres humains y jetez tout ce que vous apportez avec vous : vos espoirs, vos rêves, vos souhaits jamais réalisés. Déplorable traitement des déchets, si tu veux mon avis.
Même la force doit parfois s'incliner devant la sagesse.
Même la force doit parfois s'incliner devant la sagesse.