Cobayes : Benoit

En bref, « On tourne ! ». Benoît vous entraîne dans un moment bien précis. Celui au cours duquel l’esprit d’un homme bascule. Vers les ténèbres, vers la folie. L’horreur n’est pas sans nom, Carl Rocheleau s’attèle d’ailleurs à utiliser sciemment les mots pour en définir l’ombre. Le rapport d’AlphaLab à la fin du livre nous glace le sang, tant pour ce qu’il dit que pour ce qu’il laisse présager. Il nous en faut plus. Toujours plus.
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Un seul mot : décoiffant !
Benoît m'a vraiment touchée dans sa recherche de passion, de jouissances artistique monumentale. Il a de la "chance" de rencontre Minya. Partager ses peurs, ses doutes c'est bien mais quand il arrive le moment pour partager ses fantasmes, tiendrons-nous tous le coup 😁 ?

Il y avait un moment que je n'avais pas lu l'un des livres de la saga et c'est toujours un plaisir d'y retourner.

A chaque fois, on rejoint la vie d'un nouveau personnage qui se retrouve dans les laboratoires d'AlphaLab.

Dans celui-ci, on va un peu voyager. Si une partie se déroule au Québec, une autre se passe en Malaisie. J'ai bien aimé le dépaysement.

Il y a pas mal de références cinématographiques, mais assez générales pour que je puisse comprendre.

Vivement la suite