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Critique de LoupAlunettes
Avec des Scies on mettrait Paris en bouteille?
Que non, seulement avec des Si ( et encore).
Notre Rikimini n'aura qu'une scie et ceci ne suffira pas.
C'est l'histoire d'un tout petit sans amis.
Son allure de bout de chou le rendra sympathique, équipé de moufles, d'un bonnet, d'une grosse écharpe et trainant sa scie comme on promène un chien.
Sûr qu'un chien tiendrait bien plus compagnie qu'une scie pour ce petit.
Ce détail incongru ne le rendra pas aussi bizarre que ce qu'en disent ses camarades de classes un peu vaches, plutôt amusant, mais moi, je suis un adulte et pas un enfant.
La petite ritournelle de la compagnie de "l'écharpe, du bonnet rouge et des moufles de laine" rythmeront le récit, un jeu de répétition qui rendra la situation moins triste.
L'idée qui changera la donne imaginée par l'auteure Marie-Sabine Roger sera original et nous profiterons enfin d'un peu de vraie tendresse. A l'aube des vacances, Rikimini tombera non loin sur un gros tas de feuilles et c'est là que la petite magie va opérer.
Sous les belles illustrations d'Alexandra Huard, nous jouerons sur deux interprétations de la même aventure, semées par le doute.
Est-ce à cause de l'énorme et incroyable ours placide trouvé, roulé dans un tapis de feuilles collées à son pelage, que tous les enfants reviendront vers Rikimini ou bien est-ce pour sa grandiose idée de jouer avec un énorme matelas de feuilles mortes.
Quelque soit la vérité, l'idée séduira et l'on pourra aussi juger du caractère versatile de la jeunesse qui oublie vite( et peut-être heureusement).
Il y aura un peu de poésie dans ce "doudours" paré pour l'hiver, avec tous ces camarades amas de feuilles balayées ci et là dans la ville.
L'affaire est courte mais devrait amuser voire peut-être rassurer car rien n'est définitif en amitié et tout est possible, même avec des doudours et des petits gamins mal léchés.
Très sympa
Que non, seulement avec des Si ( et encore).
Notre Rikimini n'aura qu'une scie et ceci ne suffira pas.
C'est l'histoire d'un tout petit sans amis.
Son allure de bout de chou le rendra sympathique, équipé de moufles, d'un bonnet, d'une grosse écharpe et trainant sa scie comme on promène un chien.
Sûr qu'un chien tiendrait bien plus compagnie qu'une scie pour ce petit.
Ce détail incongru ne le rendra pas aussi bizarre que ce qu'en disent ses camarades de classes un peu vaches, plutôt amusant, mais moi, je suis un adulte et pas un enfant.
La petite ritournelle de la compagnie de "l'écharpe, du bonnet rouge et des moufles de laine" rythmeront le récit, un jeu de répétition qui rendra la situation moins triste.
L'idée qui changera la donne imaginée par l'auteure Marie-Sabine Roger sera original et nous profiterons enfin d'un peu de vraie tendresse. A l'aube des vacances, Rikimini tombera non loin sur un gros tas de feuilles et c'est là que la petite magie va opérer.
Sous les belles illustrations d'Alexandra Huard, nous jouerons sur deux interprétations de la même aventure, semées par le doute.
Est-ce à cause de l'énorme et incroyable ours placide trouvé, roulé dans un tapis de feuilles collées à son pelage, que tous les enfants reviendront vers Rikimini ou bien est-ce pour sa grandiose idée de jouer avec un énorme matelas de feuilles mortes.
Quelque soit la vérité, l'idée séduira et l'on pourra aussi juger du caractère versatile de la jeunesse qui oublie vite( et peut-être heureusement).
Il y aura un peu de poésie dans ce "doudours" paré pour l'hiver, avec tous ces camarades amas de feuilles balayées ci et là dans la ville.
L'affaire est courte mais devrait amuser voire peut-être rassurer car rien n'est définitif en amitié et tout est possible, même avec des doudours et des petits gamins mal léchés.
Très sympa
