Tout ce qu'il me reste (Les quatre vallées)

Ce roman fort court est quasiment impossible à résumer sans crainte de dévoiler le début d'une explication.
Je ne dirai donc rien, à chacun(e) de se plonger dans l'univers de Victoire, un univers où on rencontre six personnes, six personnes qui ne semblent pas avoir de liens les unes avec les autres, six personnes qu'on est surpris de voir où on ne les attendait pas.
Et toujours, Victoire en toile de fond, femme surprenante, bienveillante, qui semble être là au bon moment dans la vie de chacun.

Il faut être très attentif pour essayer de repérer les petits cailloux que l'autrice a semé de part et d'autre, pour ne pas s'embrouiller dans les personnages (heureusement ils sont peu nombreux).
Le mieux est de se laisser porter par les mots, par l'histoire, sans chercher à comprendre.

Une très joli roman sur un thème délicat (que je ne dévoilerai pas).

Mais quel très joli roman !!!! On fait la connaissance de Victoire ; autour d'elle se dessinent des personnages que nous rencontrons dans des cadres différents.
Le sentiment d'observer chaque partie d'un tableau... Puis on recule... et on observe le dessin final, avec stupeur !!!
Un roman délicieux, qui s'apprécie : on plonge dans le monde de Victoire, on essaie de relier les différents protagonnistes, car on perçoit la toile relationnelle autour de Victoire...
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Super moment de lecture avec la douce plume de Laure Rollier...
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« Six personnages. Six destins. Six histoires unies par un lien invisible. Seule Victoire, psychologue, détient la vérité. Accepteront-ils de la suivre aux Quatre Vallées ? »

Une quatrième de couverture fort mystérieuse pour un roman qui l'est tout autant. Un mystère qui ne tient qu'à un fil, qu'à ce « lien invisible » qu'on ne cesse de chercher.
Les Quatre Vallées est une histoire captivante, si captivante au point de tomber dans le piège que me tendait Laure. Maintes et maintes fois, j'ai tenté de m'échapper de ses filets et cherchait la vérité dans le moindre des détails de ce récit poignant et riche en émotions. Sans doute ai-je été dupée car distraite par mon affection grandissante pour Victoire, l'héroïne, et ma grande empathie pour ces autres personnages dont nous apprenons l'histoire au fur et à mesure. Entre autres.
Le résultat reste le même au moment du dénouement : je me suis faite avoir comme un bleu. Encore. Parce qu'après tout, ce n'est pas la première fois que je me faisais retourner le cerveau par Laure (cf ma chronique de L'ombre du lac, son dernier roman policier publié chez Moissons Noirs). Ce qui est d'autant plus remarquable cette fois-ci c'est que non seulement j'ai été bernée mais SURTOUT profondément émue, bouleversée et secouée. Vous n'avez pas idée.
Laure m'en soit témoin, le jour même, très tard dans la soirée, je lui ai envoyé un message pour la remercier pour – je cite – « avoir amené Victoire jusqu'à nous » . Vraiment, Laure : merci !

Ce fut une expérience de lecture inoubliable, partagée avec @maliceeia que je remercie pour m'avoir proposé de le lire ensemble. Je nous souhaite d'avoir encore plein d'autres belles lectures de ce calibre à l'avenir.
Quant à vous qui m'aient lu jusque-là, qu'attendez-vous pour commander ce roman ? A moins que vous ne l'ayez déjà lu ?

Wow ! Comment vous parlez de ce roman sans trop en dévoiler ? Il est très court avec un chapitre par personnage. On découvre chaque personnage, de manière assez confuse. On se demande où tout cela va nous mener. On cherche des indices partout, même là où il n'y a rien. Une hypothèse se forme au fil des pages. Et le dernier chapitre arrive, renverse tout. Les pièces s'assemblent et on se prend une immense claque. Quelle fin ! Je m'en remets toujours pas.

Je n'avais pas lu Laure Rollier depuis « nous étions merveilleuses » et quelle erreur. J'avais oublié à quel point j'aime sa plume, j'admire son talent et trouve ses romans géniaux ! Je file découvrir ses deux cosy-murders.

L'autrice m'a totalement convaincue avec ce roman auto édité.

Un récit captivant où l'histoire des différents protagonistes se rejoignent...mais pourquoi ?
Des personnages attachants. Une plume douce et talentueuse.

Il est très difficile pour moi de chroniquer ce roman sans le spoiler donc une seule chose à faire le découvrir à votre tour.

En bref, je ne m'attendais pas du tir à ça donc chapeau bas

L'auteure nous livre ici un genre radicalement différent de ces deux précédents polars. Je m'attendais à lire un genre policier, pas du tout.

L'histoire est touchante sur un style dramatique. A travers cette histoire, l'auteure nous fait prendre conscience que la vie est un cadeau immense et qu'elle peut s'arrêter soudainement n'importe quand.

Victoire est le personnage principal. Elle va croiser le chemin de six personnes, qui ne semblent pas avoir de liens les uns avec les autres. Et Victoire, bienveillante, est pourtant toujours là au bon moment. Il faut se laisser porter par les mots sans chercher à comprendre.

Alors au final, je reste un peu mitigée parce que durant une partie du roman, je ne comprenais pas ce que je lisais et c'était un peu frustrant. Les personnages font leur apparition, c'est assez déstabilisant pour nous lecteur. Mais ce qui est incroyable, c'est qu'on comprend enfin toute l'histoire dans les derniers chapitres et quelle chute! Une fois terminé, on a envie de relire le début du livre pour le voir sous un autre angle.

Je découvre les quatre vallées en même temps que la plume de Laure Rollier.
Pourtant ce n'est pas le premier roman de l'autrice, celui-ci est auto-édité mais avant cela plusieurs de ses romans ont été édités par des maisons d'édition.

J'ai pris beaucoup de plaisir à découvrir les vies de ces femmes et de ces hommes. A essayer aussi de les regrouper, à trouver le lien qui les unis, celui qui tisse leurs vies mais j'ai malencontreusement échoué.

Ce n'est absolument pas ce que vous vous imaginez.
Je suis tombée dans les leurres qu'à disposé l'autrice.
J'avoue que je me laisse facilement berner. Je me laisse facilement porter par l'histoire donc quand arrive la fin je me dis : «  Mais non ? Mais alors rien à voir avec … ni avec … »

Juste quelques déboire avec le format, la police d'écriture et l'absence du numéro des pages qui m'a un peu déstabilisé.
Ces auto-édités ne sont pas d'une qualité folle, dans certaines pages le texte est plus haut ou plus bas, quelques fautes de frappe et quelques coquilles mais cela n'enlève en rien le travail de l'autrice.

Bienvenue aux Quatre vallées. Là bas, on va rencontrer 6 personnages. Des ados, des jeunes mariés, des maris amoureux… On va suivre une bribe de leur vie, quelques jours, quelques heures.

Ils n'ont rien en commun, ou presque. On a pas vraiment le temps de s'attacher à eux car ils ne sont là que pour quelques pages. On les connaît à peine que déjà on les quitte. C'est frustrant. Malgré tout, ils nous touchent. A travers eux, on aborde divers sujets, tels que la maladie, le deuil, l'amour… Des sujets auxquels on peut tous être confrontés, voilà pourquoi on peut facilement s'identifier à l'un ou à l'autre.

Ils n'ont pas de liens entre eux, si ce n'est Victoire. Elle seule détient la vérité. Elle arrive toujours au bon moment, quand ils en ont le plus besoin pour les soutenir, leur adresser un petit mot. Comme une sorte d'ange gardien qui veille sur eux.

Ça ne sert à rien d'essayer de comprendre où on va, le mieux, c'est de se laisser porter par les personnages et plus encore par Victoire. Oui, au début ça peut paraître décousu, et puis il y a la fin… Ce lien que l'on sent venir doucement et qu'on se prend comme une claque en pleine tête. La chute est totalement inattendue. On a beau imaginer, on est loin de la vérité. La fin vient vous cueillir et elle est émouvante autant que magnifique.

C'est difficile de vous parler de ce roman sans trop en dire. Déjà parce qu'il est court, mais surtout parce qu'il faut le lire pour comprendre. Je l'avais découvert dans son premier jet en 2020 sous son titre Tout ce qu'il me reste. J'ai adoré le redécouvrir sous cette nouvelle forme. Disponible en exclusivité, numérique et broché, sur Amazon.

Vous savez à quel point j'aime cette autrice, quel que soit le genre qu'elle écrit, qu'elle soit éditée ou auto publiée, j'ai toujours hâte de me plonger dans un roman signé Laure Rollier. Si vous ne la connaissez pas encore, je vous invite à découvrir sa plume pleine de tendresse et à aller faire un tour aux Quatre vallées, pour rencontrer Victoire. Vous aussi, vous pourriez être surpris par cette femme au destin émouvant…

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J'ai choisi ce roman uniquement parce que j'avais lu le disparu de Nantucket du même auteur et que je l'avais plutôt bien aimé. Mais là, j'ai été déçue.
Pourtant le roman commençait bien. On suit pour plusieurs personnages un petit moment de leur vie. Et si l'on se doute bien qu'un fil les relie, on ne le voit pas avant la fin. le roman commence tout en légèreté et l'auteur réussit en peu de mots à nous faire entrevoir la personnalité de chaque personne. Mais le problème c'est le style ! Je me suis demandé à plusieurs reprises si le roman avait été relu, il y a de nombreuses fautes d'orthographe, typographiques ou de concordance de temps qui ont gâché ma lecture. Je sais bien qu'il ne faut pas s'arrêter à ça mais quand il y en a trop ça devient difficile d'en faire abstraction. Cela est sans doute dû au fait que c'est de l'autoédition mais c'est vraiment dommage ! Je l'ai quand même terminé et c'est d'autant plus dommage que la fin est plutôt surprenante et réussie... Avis très réservé.

Laure Rollier a récemment retravaillé ce qui était jusque là son premier roman et nous l'a reproposé dans le cadre d'une offre solidaire il y a quelque temps. Une courte lecture que je me suis empressée de découvrir car j'avais vu passer des avis bien intrigants sur la fin du récit.

Le roman fait moins de 150 pages et va nous faire découvrir une palette assez large de personnages. Et moi je suis la lectrice looseuse des prénoms qui met toujours un temps fou à enregistrer qui est qui. Là, ça m'a posé problème parce que, sur un format court, on suit des personnages les uns après les autres. J'avais à peine intégré l'histoire du personnage en question (et pas mémorisé son prénom donc) qu'on passait au suivant. J'étais paumée.

Pourtant, mon esprit enregistrait des petits détails intrigants. On va suivre différentes personnalités toutes à un moment visiblement crucial de leur vie. Et entre eux tous navigue la fameuse Victoire. C'est elle qui m'a interrogée car elle semble se mêler de la vie de ces personnes qui lui sont inconnues, passant de l'une à l'autre car il y a un lien qui les unit. Qui est Victoire? Quel est son rôle ?

Plus on avance, plus on se pose la question, moins on ne sait. Il était évident qu'elle avait un rôle positif dans les histoires, comme un ange gardien. J'avais une hypothèse assez évidente mais, au vu du final, je crois que c'était vraiment l'objectif de Laure Rollier que de nous faire penser à cela pour nous surprendre avec autre chose ! Et une fois qu'elle a tout dévoilé, on se dit mais oui évidemment, ça ne pouvait être que cela. Et on a presque envie de relire depuis le début pour tout voir sous un nouveau jour.
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