Une semaine après, La Malène a repris contact avec moi. J'ai répété que je voulais bien les aider, mais pas en faisant n'importe quoi. Je me sentais une dette envers Debré, qui m'avait fait élire. La Malène a organisé un nouveau rendez-vous avec Debré, salle Colbert à l'Assemblée. Là, Debré m'a dit: "J'ai mis un plan au point. Accepterez-vous de mener une action contre Mitterrand qui lui fera perdre tout crédit politique?" "Oui", ai-je répondu sans hésiter.
(Robert Pesquet parle)
Un article, ce n'est pasune dissertation, encore moins une thèse. Il y a des livres pour ça. Le journalisme, c'est superficiel, c'est léger, ça se déguste vite et s'oublie encore plus vite. Le lendemain, votre prose sert à emballer les poireaux. Vous aimez les poireaux?