Les chairs impatientes

Oh ma déesse ! c'est d'une nullité absolue... il n'y a absolument rien à repêcher. Amas d'adjectifs tellement lourds qu'ils en perdent tous leurs sens. l'histoire n'en a pas non plus d'ailleurs. c'est lourd, pénible. Aucune émotion, ni pour le sexe, ni pour les personnages. Il n'y a rien. L'autrice n'avait rien à dire en fait. Je suis consternée par la banalité des propos, par les clichés éculés et ridicules. Pathétique petite femme au foyer qui refuse d'admettre qu'elle a suivi le chemin hétéro-normé et tombe en dépression parce que, eh oui, ce n'est pas synonyme de bonheur. Pauvre petite chose... Bref j'arrête parce que j'ai conscience d'être inutilement méchante mais j'ai vraiment perdu mon temps.

Au moins c'est vite lu...
Quel intérêt sur le fond ? aucun puisque c'est d'une banalité confondante
Mille fois traité en littérature ou au cinéma
Alors la forme ? désolé...plat, répétitif, vraiment très moyen .
Un énième roman autofictionnel.. narcissique
Qui cela peut intéresser à part son auteur ou autrice ?
Et on s'étonne que les enfants soient mal élevés...

J'attendais beaucoup de ce livre, moi même faisant face à la tempête de la maternité et de cette quête de liberté et d'identité à laquelle se confronte beaucoup de femmes. Mais le roman est vide et c'est très dommage. Les chapitres se ressemblent, se répètent, et même si c'est certainement un coup de l'auteur pour accentuer ce désir incontrôlable, c'est trop. Je me perds dans les descriptions et l'écriture trop lourde, bourrée d'adjectifs qui en perdent leur sens. Il n'y a pas de place à l'exploration profonde des sentiments de cette femme. Bref, c'est très très superficiel.