Sans intérêt, bien que je sois infiniment respectueux de Jean-Marie ROUGHOL, de son parcours et de son récit. En revanche, je le suis beaucoup moins de Jean-Louis DEBRE, dont l'intervention me parait cousue de fil blanc. La classe aurait été de ne pas apparaître du tout. Sinon, puisqu'il était censé relire, mettre en forme et corriger, lecresultat est raté.
Mais, le véritable auteur, lui, est inattaquable.
J'ai trouvé ce texte vide de sens par rapport à la richesse vécue par les sans-abri, titre aguicheur mais une très grande déception, les intentions étaient bonnes le résultat scandaleux. Il y a de toute évidence une grande censure.
En 1941, cette immense écrivaine, pensant devenir folle, va se jeter dans une rivière les poches pleine de pierres. Avant de mourir, elle écrit à son mari une lettre où elle dit prendre la meilleure décision qui soit.