Harry Potter, tome 5 : Harry Potter et l'ordre du Phénix

Pour sa cinquième année à Poudlard, Harry Potter ne sait pas encore ce qu'il l'attend mais il ne va pas tarder à le savoir. Entre le fait que beaucoup de chose lui sont caché, le retour de Voldemort, le fait qu'il soit traité de menteur par tout le monde – ou presque -, la perte d'un être cher, un nouveau professeur diabolique et une épreuve des plus dure à affronter : Harry va avoir du travail. Il va devoir redoubler d'efforts pour surpasser tout ça, mais heureusement il n'est pas seul. Hermione et Ron sont toujours avec lui, mais il peut aussi compter sur Neville, Ginny et bien d'autres personnes. Mais… Cela sera-t-il suffisant ?

Avant de partir sur les personnages il faut bien que je parle de l'histoire. Et ce tome reste le plus conséquent des sept – ou oui selon ce que vous préféré si vous comptez le petit dernier – alors évidemment il y en a des choses à dire. Pour commencer : c'est enfin là où tout commence, Voldemort est de retour alors il est temps d'agir. du moins… C'est ce qui devrait arriver, sauf que le ministère de la magie refuse de croire en son retour alors évidemment personne ne prépare rien du tout. Ou presque : l'Ordre du Phénix. Eh oui le titre n'est pas choisi au hasard : il s'agit d'un Ordre créé par Dumbledore et qui regroupe les gens qui croient en le retour de Vous-Savez-Qui et qui sont près à se battre pour défendre leur vie.

Ce tome cinq c'est vraiment un tournant de l'histoire je trouve. Depuis le début on suit Harry qui commence à grandir, qui découvre un monde de magie et qui se fait des amis. Là au contraire, et cela va de paire avec la fin du tome quatre, nous avons un Harry qui découvre aussi les mauvais côtés de sa vie. Les pertes, les combats, la peur, le désespoir, la solitude, le danger et la tristesse. On entre enfin dans l'action ici. Certes Harry avait déjà en quelques sortes combattu Voldemort, mais rien de ce qu'il avait fait avant n'a d'égale ce qu'il vit ici. Rien que pour ce détail j'ai trouvé le tome très intéressant. Alors malgré cela et vu la longueur du livre il y a évidemment des moments un peu plus long que les autres. Mais je les ai trouvés légitimes : après tout entre le danger et ses études il est normal que tout n'aille pas à la vitesse d'un vif d'or. Il y a des détails qui doivent prendre son temps. de plus dans ce tome Harry s'affirme beaucoup plus le fait de diriger l'A.D. l'a aidé autant qu'il a aidé les autres.

Évidemment il y a un moment qui m'a fait pleurer toutes les larmes de mon corps. Oooh j'étais déjà préparé, je savais à quoi m'attendre mais en lisant les livres je me suis à nouveau attaché à ce personnage alors évidemment sa mort n'en a été que plus cruelle encore. C'est comme perdre quelqu'un une seconde fois, sauf qu'il s'agit là d'un personnage fictif. Je sais que les morts ne s'arrêtent pas là, dans la suite il y en aura bien plus encore, mais là c'est pour moi la mort la plus cruelle de toute. Aucune autre ne surpassera la douleur de celle-ci, même si j'aime beaucoup d'autre personnage qui ne survivrons pas jusqu'à la fin…

Comme dans tous les livres, il y a des personnages que j'aime et d'autre que je déteste. Je ne parlerai pas des personnages que j'aime, déjà parce que je pense qu'on a compris que j'étais dingue de Draco. Mais aussi parce que Sirius… Enfin, voilà je n'ai pas besoin d'en dire plus je pense. Cependant en dehors d'eux je dois avouer que Luna Lovegood m'a beaucoup plus. Son côté déjanté, loufoque, différente lui donne un côté attachante. Alors ce ne sera jamais l'un de mes personnages favori, mais au moins elle donne un vent de fraicheur à l'oeuvre.

Mais à côté il y a aussi les personnages que je déteste. J'ai déjà parlé de Percy et là il continue comme toujours à me taper sur les nerfs, c'est même de pire en pire. Mais pour mon plus grand plaisir – merci JK Rowling – on m'offre ici deux nouveaux personnages. Alors l'une est détestable et l'autre inutile.

Je vais commencer par la deuxième : Cho Chang. Bon dire d'elle qu'elle est inutile est peut-être un peu fort, mais pas loin de la vérité. Je sais que beaucoup l'aiment, mais j'ai du mal à comprendre pourquoi. Mais à force d'y réfléchir je me suis dit que c'était parce que j'étais moi-même une fille. Car pour moi (et ce point est important, donc ne venait pas râler) Cho est le cliché ambulant des « filles » dans les livres depuis la première fois qu'elle est là. En effet : elle glousse, elle pleure, elle sort avec le mec le plus populaire qui – malheureusement meurt -, sur le côté elle en pince pour le héros et elle n'est que peu présente. Bref une fille comme on en trouve des centaines dans les livres. Alors oui entre elle et Harry il y a une petite attirance (car ça ne ressemble en rien à de l'amour, peu importe ce que vous me direz), mais… en quoi est-elle importante ? Je veux dire en tout et pour tout elle doit avoir trente lignes de dialogue, un baiser et le reste du temps elle pleure. En quoi ça fait d'elle un personnage intéressant, intriguant ou génial ? Je ne dis pas que mes personnages favoris sont mieux, mais au moins j'ai le plaisir de me dire qu'ils ont leur caractère propre et pas… rien.

Et ensuite nous avons Dolores Ombrage. Aaah voilà un méchant dans toute sa splendeur sauf que… Eh bien d'habitude j'adore les méchants, mais elle non. Pas du tout. C'est, à mon goût, le pire personnage de toute la saga. Les autres personnages que je n'apprécie pas on au moins une qualité : ils ont une raison d'être ce qu'ils sont. Ron c'est le meilleur ami du héros alors il est utile, mais pas au point de prendre la place d'Harry. Percy veut réussir à s'en sortir, même si pour ça il choisit le mauvais camp. Gilderoy Lockhart aime la célébrité et tien à cela. Mais elle… Elle suit les ordres aveuglément au point d'aller jusqu'à enfreindre les règles. Au fond c'est la définition même d'un méchant, ceux qu'on à du mal – voir qu'on est incapable – d'apprécier. En plus de ça elle cruelle, sadique, odieuse et stupide quand même sur certains points. Rajouter à cela que je déteste profondément le rose – couleur qu'elle a PARTOUT de ses habits à son mobilier !! – et vous comprendrais que je la hais au plus au point.

Sur ceux je vous laisse car j'ai un tome six à continuer et donc un Prince à retrouver. Encore une fois ça ne sera pas le tome le plus heureux de la saga, mais comme pour celui-ci : même si c'est cruel et dur au moins cela est réaliste. Si aucun personnage ne mourrait jamais dans Harry Potter ça serait stupide car dans chaque guerre il y a des morts. Et ceux dans les deux camps. Alors même si c'est difficile à lire parfois car c'est triste, au moins c'est réaliste et j'aime ça.
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Noir c'est noir! Dans ce tome l'ambiance est particulièrement sombre. Des le début du roman, tout va mal pour notre jeune héros Harry Potter et ça va ne faire qu'empirer tout au long du roman avec une fin un peu tristounette. A la fois cette ambiance un peu bizarre et noire colle bien avec le retour de Voldemort et tous les malheurs et injustices qui s'abattent sur l'école Poudlard et ses élèves. J'ai mis un peu plus de temps que pour les autres tomes à me mettre dans l'histoire mais une fois rentree dans le livre, je ne l'ai plus quitté et ai dévoré les 1000 pages en a peine quelques jours. Hâte de poursuivre les aventures de Potter avec le prochain tome!

Harry vient de passer un autre pénible été chez son oncle et sa tante, sans nouvelles de ses amis ni du monde de la magie. Autrefois admis en héros à l'école des sorciers, il y est accueilli plutôt tièdement en cette cinquième année. C'est que le ministère de la Magie ne veut plus rien entendre des prétendues menaces de mort qui planent sur Harry Potter. Mandée pour effacer le souvenir de Voldemort des couloirs de l'école, une nouvelle enseignante en profite dès lors pour rendre la vie dure à Harry et semer la zizanie parmi les grands et les petits sorciers. Chassé de l'équipe de quidditch et ridiculisé par le ministère de la Magie, Harry doit également combattre les images que parvient à immiscer dans son cerveau Lord Voldemort, bel et bien vivant, et plus menaçant que jamais. Et pour couronner le tout, voilà que Harry se retrouve affligé d'une timidité qui le transforme en poireau devant la belle Cho Chang.
Toujours aussi bien !

De tous les "Harry Potter", l'Ordre du Phénix est mon préféré. On retrouve Ron, Hermione et Harry âgés d'une quinzaine d'années. Il vont découvrir "l'Ordre du Phénix", un groupe de sorciers très doués au service de Dumbledore.
Voldemort est revenu et Harry et ses amis vont devoir lutter contre les forces du mal. de plus, un nouveau professeur de "Défense contre les forces du mal" va arriver, elle se nomme "Dolores Jane Ombrage".

Je ne dévoilerais pas plus sur ce livre, mais je vous le conseille fortement.
Bonne lecture!

Comme l'annonçait le tome 4, ce nouveau tome des aventures de Harry est nettement plus somvre que les précédents.

On voit un Harry plus humain, beaucoup de ses sentiments sont dépeint dans ce tome.
Harry jaloux du fait que Hermione et Ron soient ensemble impliqués dans la lutte contre voldemort sans lui. Alors que c'est lui qui l'a combattu à plusieurs reprises, un peu imbu de sa personne ? Ou est ce la colère qui parle ?
Le thème de la jalousie est assez récurent dans ce tome. Et Harry se sent mis à l'écart, Ron et Hermione qui était à square Grimaud avant lui, Ron et Hermione qui sont préfet sans Harry. Harry a du mal à encaisser cela et se sent un peu comme la troisième roue du carrosse. Harry semble plus sujet aux sautes d'humeurs  et deviens plus colérique.

On ne peut parler de ce tome sans faire mention au détestable professeur Ombrage. Tout au long du roman on ne peut que la détester chaque fois un peu plus.

L'histoire de la famille de Sirius fait froid dans le dos, on se demande comment il a pas ne pas tourner mal dans un environnement pareil.
J'adore les joutes verbales entre Dumbledore et Fudge, Fudge qui s'enfonce dans sa haine de Dumbledore et en devient incohérent voire risible. 
J'aime toujours autant la folie de Fred et Georges, ils me feront toujours rire avec leurs inventions, leurs blagues, leurs remarques ironiques.. et leur incroyable départ de Poudlard.

L'un des meilleurs moments du tome reste sans conteste l'arrivée de "l'armée de Dumbledore" au ministère de la magie. Cette fois ci notre trio n'est plus seul face aux dangers. le combat contre les mangemorts restent un des moments d'anthologie de ce 5e roman.
D'autres moments plus tristes restent dans nos mémoires: Sirius et le voile (crise de larmes) et la réaction de Harry dans le bureau de Dumbledore et jusqu'à la fin du livre. On voit qu'il est touché et qu'il a mal.
Sans contexte un excellent tome bien que plus sombre, mais on voit que le lecteur grandit avec Harry (ce qui était mon cas à l'époque de ma première lecture). le thème du bien et du mal est plus que jamais présent. Ainsi que l'amour et l'amitié.

J'ai lu le premier tome pour la première fois quand j'avais 7 ans.
C'est Harry Potter qui m'a donné le gout de la lecture...
Aussi je garde une grande tendresse pour cette série.
Maintenant peut-être que je me fait vieille (presque 21 ans, soit le triple) je n'aime plus autant la série dont la fin m'a déçue mais je reste lui reconnaissante de m'avoir ouvert le chemin vers le monde merveilleux des livres.
Ce qui est un des points fort de la série, mais ne peut s'aprécier que quand elle étant justement encore en cours de publication, c'est l'évolution de "l'ambiance" au cours des tomes, qui change avec l'âge du héros (et donc potentiellement du lecteur).

Comme je l'avais déjà dis dans mon commentaire sur le tome précédent, on a pris un "tournant" dans l'histoire. le lecteur est (censément) plus mur, et l'histoire plus sombre.
Harry Potter se teinte de politique, et pas de la politique toujours très propre... négationnisme, refus d'affronter une réalité pour laquelle on ne se sent pas taillé, et quasi "dictature" au niveau de Poudlard.
Sombre aussi car avec les Mangemort réunis et actifs, on ne peut pas s'attendre à ce que tous le fasse jusqu'au bout. J'ai relu bien trois fois le passage de la mort de Sirius de suite, avant que les quelques lignes consacrées ne commencent à faire sens

Bref, un tome qui a su murir avec son lectorat et que je recommande vivement. (avec parti pris bien sûr ;) )

5ème volet de la saga que je me souviens avoir dévoré.
1ère partie du bouquin très intéressante et pour une fois ça change, Harry ne retourne pas à Poudlard tout de suite ! Et ça, ça fait du bien ! Tout l'univers autour de Sirius est super !

On connaît dans ce tome nos premières crises de larmes, car même si la mort est déjà présente dans le tome précédent. Là, elle touche un des personnages emblématiques, de ceux que l'auteur a réussit à nous faire aimer le plus.

Le plus long livre que j'ai eu le plaisir de lire jusqu'à présent. Beaucoup de choses changent, le livre devient plus sombre. C'est un Harry triste et préoccupé qu'on retrouve ici. C'est la première fois qu'il est aussi froid pendant toute son année, il est devenu la risée du monde des sorciers, même certains de ses amis sont contre lui. Difficile de ne pas ressentir de la peine pour lui. Ce n'est plus le petit garçon joyeux de onze ans, il devient adulte malgré son jeune âge. Et il aura encore bien des épreuves à surmonter.
Petite chose qui m'a manquée, on ne voit pas beaucoup Haggrid dans ce roman, pour moi c'est l'un des piliers de l'histoire et dans la vie de Harry.
Cependant, Ginny s'est affirmée comme elle ne l'avait jamais fais auparavant. Elle a un fort caractère qui se révèle, caractère qu'elle a hérité de Molly.
Dans ce roman, les personnages secondaires se démarquent.

Après les évènements qui se sont produits dans le quatrième tome, il est évident que la vie à Poudlard (et dans le monde magique en général) sera très différente de ce qu'Harry a connu. Mais, à l'aube d'entrée de sa cinquième année, le jeune homme est loin d'imaginer à quel point les choses sont différentes. Voldemort est de retour, entouré de ses partisans, les Mangemorts, et semble bien déterminer à tuer Harry, cette fois. Pour couronner le tout, Harry et Dumbledore, qui ont annoncé le retour du Seigneur des Ténèbres, sont vu respectivement comme un menteur et comme un fou, par une bonne partie des sorciers. Ils se retrouvent rejetés par le Ministère de la Magie, et insultés dans La Gazette du Sorcier. Heureusement, la résistance s'organise avec l'Ordre du Phénix, une société secrète de sorciers qui a pour but d'éliminer Voldemort.

Quand on lit ce livre avec notre regard d'adulte, on se rend compte que J.K. Rowling s'est probablement inspirée d'une période sombre de l'Histoire, à savoir la Seconde Guerre Mondiale (ce qui sera confirmé réellement dans le septième tome, avec des évènements qui coïncident plutôt bien avec la Seconde Guerre Mondiale). Je trouve que c'est très intéressant de baser une histoire fictive sur des évènements qui ont réellement eu lieu. Et on peut s'interroger : Quel camp choisirions-nous, si nous étions à Poudlard ? Est-ce qu'on écouterait Harry et Dumbledore, ou penserait-on que La Gazette et le Ministère de la Magie disent vrai ?

Vous avez bien compris, ce cinquième tome est encore plus sombre, avec des personnages terrifiants et détestables qui font leur entrée. Je décerne la palme du sadisme à Dolores Jane Ombrage et Bellatrix Lestrange : je n'ai pas réussi à les départager. Mais il faut bien avouer que ce sont deux personnages qui sont fascinants.

Nous en apprendrons également plus sur Severus Rogue et les raisons pour lesquelles il déteste Harry. Ce sont des passages que j'aime beaucoup, même si ce qui est arrivé à Rogue quand il était adolescent me répugne. Pour cette fois, je me range entièrement de son côté, parce qu'il ne méritait pas ce qui se passait. La première fois que j'ai lu ce passage, j'étais moi-même adolescente (je devais avoir douze ans) et je me suis reconnue dans la situation du Maître des Potions.

En parlant d'adolescent, Harry en devient vraiment un, ce qui le rend parfois un peu agaçant. En effet, il passe une bonne partie de son temps à hurler sur les autres. Ron aussi est énervant, il n'arrête pas de se plaindre. Je reste néanmoins très attachée aux personnages, mais je dois avouer que ce n'est pas dans ce tome-là que je les préfère.

Très épais, ce volume se lit à une vitesse folle, et J.K. Rowling a réussi à rendre tout absolument intéressant, si bien qu'on ne prête plus attention à l'épaisseur du livre. Et, encore une fois, nous avons le droit à un tome plus sombre, avec un final qui ne vous laissera sûrement pas indifférent...

Au moins, vous êtes sûrs de ne pas vous ennuyer. Et puis vous pourrez aller aux réunions de l'A.D. pour compenser ! J'ai bien envie d'apprendre à repousser un Détraqueur...
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Cette nouvelle rentrée scolaire s'annonce sombre et dangereuse pour Harry et ses amis. Voldemort est de retour malgré les démentis du Ministère de la Magie qui préfère faire passer Harry pour un menteur et Dumbledore pour quelqu'un qui perd la raison. Mais l'heure est grave. Alors qu'Harry découvre le quartier général de l'Armée de l'Ordre du Phénix à Londres, armée constituée par Dumbledore pour lutter contre Voldemort et ses adeptes, des changements s'annoncent également à Poudlard. Un nouveau professeur de Défense contre les Forces du Mal fait son apparition, Dolores Ombrage, dont le principal plaisir est de torturer ses élèves. Elle interdit également aux élèves de pratiquer la magie, préférant les cours théoriques. Totalement désemparés et furieux de cela, Harry et ses amis n'auront d'autres solutions que d'apprendre à se défendre par eux-mêmes. Car ils le savent, l'affrontement avec Voldemort et les Mangemorts est de plus en plus proche...

Nos personnages sont devenus plus matures et comme l'annonçait la fin du tome 4, une époque sombre s'annonce pour eux. Et sombre, ce nouveau livre l'est. Mais alors, quel ennui ! Certes, on trouve des éléments qui seront essentiels pour la suite mais que de longueurs ! Je me suis ennuyée ferme à cette lecture et je pense qu'un tome entier n'était pas nécessaire à la suite et la compréhension de l'histoire d'Harry. Mais les lois du marketing sont sûrement les plus fortes…