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4,5

sur 21448 notes
Le cinquième tome est le tome le plus long mais aussi le plus dense en émotions. Loin de trainer en longueurs cependant, cet opus embarque complètement le lecteur dans un torrent ininterrompu de sentiments intenses. C'est simple, d'un chapitre à l'autre, et parfois même d'un paragraphe à l'autre, nos émotions sont bouleversées, révélant une maturité d'écriture déjà visible dans le quatrième tome mais ici complètement atteinte. Et ce bouillonnement d'émotions fait écho à celui de la période difficile de l'adolescence que traverse Harry. On passe de la lassitude à la surprise (révélations sur Mrs Figg, Pétunia, etc.), de la frustration (beaucoup) à la rage pure et simple envers Ombrage, de l'envie de révolte à l'envie de normalité, du rire (aussi, avec Fred et Georges) à la peine, de la tension immense qui booste l'adrénaline au désespoir le plus profond… C'est un ascenseur émotionnel de dingue dont on ne ressort pas indemne. En tout cas, à chaque lecture je passe par toutes les couleurs de la palette des sentiments et reste subjuguée par le talent de Rowling de nous en faire vivre autant. Son [...]

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Comment lutter contre le seigneur des ténèbres quand on doit supporter les mensonges du ministère de la magie et de la Gazette du sorcier, tenir tête à un professeur, ne plus pouvoirs jouer de Quidditch, enseigner la défense contre les forces du mal, être amoureux de Cho Chang, faire des rêves-réalités, ne presque plus voir son parrain...
Harry, lui vit tout ça en même temps, le tome 5 de Harry Potter se complique davantage maintenant que Celui-dont-on-ne-doit-pas-prononcer-le-nom est de retour.
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Chaque tome me paraît plus exceptionnel que le précédent!

La répétition de la trame est vraiment un point fort de la saga :

Le début du livre chez les Dursley
Toujours une façon différente de s'en aller de cette maison de fous
Le petit laps de temps avant la rentrée
Le Poudlard Express
La rentrée
L'année à Poudlard toujours pleine de rebondissements
Et le retour par le Poudlard Express
Cela donne une ligne directrice au lecteur et pour ma part je me demande toujours comment Harry va réussir à s'échapper de chez les Dursley

Ce tome est celui dans lequel (jusqu'à présent) il y a le plus de suspense. On ne s'attend pas du tout à ce qui va se passer! Beaucoup d'action, de nouveaux personnages, des révélations, et de moments tristes...

Comme d'habitude je trouve que Ron est un personnage génial ! Je l'adore : il a de l'humour, il a des réflexions bien à lui (surtout par rapport à hermione) et j'aime beaucoup les autres membres de sa famille également.

J'aime aussi beaucoup le personnage de Sirius, mais plus dans les livres que dans le film.

Mais cette Ombrage!!!! Je me demande si je n'aurais pas voulu qu'il lui arrive quelque chose de bien pire que de tomber sur les centaures.

Dans ce tome, même si je connais la raison, je trouve que la mauvaise humeur d'Harry plombe un peu l'ambiance à certains moments

En plus de toutes les épreuves que doivent subir Harry et ses amis cette année et l'année des BUSES. Cela nous replace dans l'univers scolaire qui est parfois un peu oublié avec toutes les péripéties que nous connaissons

Encore une fois, j'ai vraiment été happée par ce monde magique. Dès que j'avais un moment, je voulais retourner à Poudlard et poursuivre ma lecture.

C'est comme ça que l'on sait qu'un livre est extraordinaire, quand il nous plonge vraiment dans un autre univers, quand on oublie tout quand on le lit.
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On ne s'en lasse pas. Potter devient un grand sorcier, malgré son jeune âge. Ce parce qu'il se retrouve confronté une nouvelle fois à Voldemort. Ce tome incarne une bascule dans le combat avec Voldemort. Certaines scènes se déroulent en dehors de Poudlard, ce qui ajoute de la nouveauté dans la saga. J'ai découvert un Potter hargneux, combatif au-delà de ce qu'on peut imaginer, émotif, et encore plus rebelle.
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D'accord, j'ai mis un certain temps pour ma critique de ce livre, m'enfin "mieux vaut tard que jamais".

Donc, HP5, un HP comme on les aime mais avec une puissance accrue encore, anormale, on hait, on aime, on crie à l'intérieur en s'étonnant de pouvoir encore se contenir ainsi, et c'est excellent et on ne changerait ça pour rien au monde. Si Ombrage existait, et qu'on était pas, bien sûr, dans le livre, mais genre, juste un spectateur, on serait tous là, à se lever et à la huer et on acclamerait, avec une force du diable, Harry, Hermine, Ron, Ginny, Luna, et plus que tout, JKR. Qui, si elle le voulait, pourrait tous nous emmener à une révolution, sur tout ou n'importe quoi, voire produire la troisième guerre mondiale, par son seul talent unique - l'écriture.

Et puis, juste comme ça, parce que j'adore cette expression et que "j'en suis"!

POTTERIENS ROOOOOOOOOOCKS !
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Pas de repos pour Harry qui entre en cinquième année : après les calamiteuses vacances de mise, la rentrée à Poudlard s'annonce plus mouvementée que jamais. Depuis que Voldemort est de retour, l'école est devenue un champ de bataille : les Serpentard font des leurs ; le Ministère de la Magie fait pression sur son directeur Dumbledore ; et que dire de ce dernier qui reste obstinément caché, de Ron et Hermione qui semblent lui faire de l'ombre, d'un début de rébellion chez les Détraqueurs…
Il est bien loin le temps où le jeune Harry s'émerveillait du monde des sorciers ; désormais vient l'adolescence, et ses tourments sont amplifiés par la menace permanente de son ennemi juré. La grande force de J. K. Rowling est justement d'avoir su bâtir une psychologie pour son héros capable d'évoluer au fil de ses traumatismes et de son rapprochement de l'âge adulte : il devient critique envers les adultes, de manière justifiée mais souvent trop impulsive ; la haine qui l'anime envers ceux qui l'ont privé d'une existence heureuse l'empêche de rester un personnage lisse : nous avons désormais un héros imparfait face à un monde qui l'est tout autant, sans jamais tomber dans les écueils du « Je suis un ado rebelle qui explose le système ». Et pour être honnête avec vous, il y a énormément de choses qu'il vit et que j'ai traversées aussi, même après la fin de la puberté. Enfin, après la méfiance dans le prisonnier d'Azkaban et la maîtrise de la jalousie dans La Coupe de Feu, Harry va désormais apprendre à devenir un meneur, les méthodes que cela implique mais aussi le prix des responsabilités.
Mais parallèlement à l'apprentissage de Harry, ce aussi l'occasion pour l'autrice de continuer sa critique de la société moderne : avec L'école des sorciers, il s'agissait du conformisme ; avec La chambre des secrets, de la discrimination ; avec le prisonnier d'Azkaban, de l'ordre et de la justice ; avec La Coupe de Feu, de la société du spectacle ; cette fois, L'Ordre du Phénix s'intéresse à la place de la vérité. Un rôle à prendre d'autant plus à coeur dans un monde où désormais les créatures les plus repoussantes peuvent devenir vos alliés et où le pragmatisme des Serpentard devient de plus en plus compréhensible. le Ministère de la Magie instrumentalise l'information pour garder le pouvoir le plus longtemps possible, quitte à signer sa propre perte. Les médias en prennent pour leur grade depuis un ou deux tomes, et ça ne va pas s'arrêter : à côté de la Gazette du Sorcier, nous découvrons le Chicaneur, une feuille de choux à mi-chemin entre Paris Match et Didier Raoult sous LSD. Malheureusement, il finit temporairement par devenir le seul recours pour le héros afin de répandre la vérité sur les affaires que tente d'étouffer l'État. Il a de la chance qu'il n'y ait pas de zététiciens dans le monde des sorciers…
Face à une telle complexité, il fallait des personnages à la hauteur. Si l'auteure avait réussi jusque-là à créer des interactions intéressantes, aucun d'entre eux n'était spécialement original ou tortueux ; mais les choses changent, parce que le Ministère de la Magie tente de museler Dumbledore avec Dolores Ombrage, une méchante exceptionnelle adepte du harcèlement moral et des châtiments corporels sous ses airs de Mamie Nova (oui, un peu comme Marine le Pen, mais dans des vêtements kitschs !) ; son autoritarisme derrière des gants de velours est fascinant à observer et en dit long sur la gentillesse affichée de certaines figures extrémistes se faisant caressantes pour gagner en popularité (même si bon, à chacune de ses apparitions, je vous avoue que j'étais surtout en train d'imaginer de nouveaux moyens de la torturer jusqu'à ce que mort s'ensuive…).
Ceux qui étaient déjà là s'affinent également : Dumbledore commet des erreurs ; Rogue n'est plus sadique juste par méchanceté gratuite ; la famille Weasley est plus fragilisée que jamais ; Cho Chang qui n'était jusque-là qu'un objet de désir apparaît comme une amante à la psychologie torturée ; et que dire de la place toute particulière de Neville, dont on découvre l'étendue de la souffrance et qui parvient pourtant à donner un sens à sa vie… ou de Dumbledore dont chacune de ses rares apparitions sont une masterclass en matière de charisme.
Du côté de l'humour, enfin, on aurait pu croire que la série se calmerait avec son assombrissement ; bien au contraire, Fred et George sont toujours là, ainsi qu'une nouvelle venue excentrique, Luna Lovegood. Une espièglerie constante survole ainsi le livre (en balai)… jusqu'aux 100 dernières pages, ce qui ne rend la claque du retour au réel que plus monumentale.
Par contre, on ne peut pas dire non plus qu'il s'agisse d'un sans-faute : d'autres personnages comme Drago, Crabbe, Goyle ou Hagrid restent toujours aussi unidimensionnels (même si des choses pourraient bien changer du côté des Malefoy). Et puis bien entendu il y a les raccourcis de scénario : les prisonniers d'Azkaban peuvent rentrer au Ministère comme dans un moulin, mais pas à Poudlard ?! Admettons, Dumbeldore est plus vigilant, donc il a mis des sortilèges de protection, mais je suis surpris qu'ils n'aient pas dû affronter plus de surveillance au coeur du Ministère. Sans compter que si on ne peut pas se téléporter par transplanage à Poudlard, bizarrement on le peut sans problème avec un Portoloin…
Certaines idées auraient même pu être poussées davantage : puisqu'on est en train de parler de la presse, pourquoi ne pas créer un journal étudiant édité en toute clandestinité pour ridiculiser Ombrage ? Mais L'Ordre du Phénix se rattrape par son élargissement du worldbuilding : nous avons enfin des explications sur la nature des fantômes, et le Département des Mystères est un endroit rempli de bizarreries poétiques, ou au contraire particulièrement glaçantes. L'une d'elles en particulier m'a rappelé un certain plan de Prince des Ténèbres de John Carpenter : quelque chose de peut-être bien plus effrayant que toute l'horreur lovecraftienne réunie…
En dépit des défauts habituels de son autrice, Harry Potter et l'Ordre du Phénix est une nouvelle fois un tome enthousiasmant. le final fait un choc bien plus grand encore que le précédent, et d'après les spoils qu'on m'a fait sur le suivant, ça n'a pas l'air d'être prêt de s'arrêter. C'est donc avec une grande hâte que je lirai Harry Potter et le Prince de Sang-Mêlé… et puis bon, c'est pour ma culture.
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Énième relecture de cette cinquième aventure d'Harry Hermione et Ron. Cela faisait longtemps que je n'avais pas relu ce tome et se fut un plaisir de redécouvrir certains passages que le film ne met pas du tout en lumière. Je ne me rappelais pas que le professeur Mcgonagall se retrouve à l'hôpital Saint Mangouste suite à l'attaque de cinq stupéfix lancés sur elle !
C'est le tome qui fait entrer la saga dans plus de maturité et surtout l'avant dernier tome qui se déroule principalement à Poudlard.
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Je fais totalement partie de la "génération Harry Potter", c'est à dire qu'après avoir lu les premiers tomes, j'attendais chaque année le suivant pour savoir ce que devenaient les héros qui avaient à peu près le même âge que moi. Cependant, contrairement à beaucoup de "Potterhead", je ne les avais jamais relus jusque là. Ma critique va donc se concentrer sur certains aspects que j'ai remarqués lors de cette relecture à une dizaine d'années d'intervalles de la précédente. Elle ne sera donc pas exhaustive et passera sous silence tout ce qui a été dit maintes fois sur cette série, pour se concentrer sur quelques aspects moins évoqués, tellement il est vrai que cette série est riche en significations.

Le cinquième tome est probablement mon préféré de la série. Parce qu'il est celui de la rébellion, mais aussi parce qu'il est le plus épais, ce qui laisse le temps à J.K. Rowling de complexifier son univers, les intrigues et thématiques secondaires, la psychologie des personnages... A l'époque de sa sortie, je me rappelle qu'il marquait une rupture avec les livres précédents moins sombres et plus orientés vers des préadolescents et je l'ai ressentie à nouveau car je suis en train de relire toute la série. Ce qui est marquant tout d'abord c'est la violence des sentiments éprouvés par Harry Potter et qui est prégnante dès les premières pages : colère, tristesse, deuil... C'est évidemment la réaction d'un adolescent "confiné" dans une famille d'accueil qui le méprise, une conséquence du lien entre notre héros et Voldemort, mais aussi ce que je n'avais pas vraiment perçu auparavant l'expression d'un vrai trouble de stress post-traumatique suite au meurtre devant ses yeux d'une personne qu'il connaissait à la fin du tome quatre. Chose tout à fait cohérente étant donné ce qu'il a subi et l'absence de prise en charge psychologique par les adultes suite à ce choc. Donc bien joué Joanne !

Deuxième point, je ne m'étais pas rendu compte à quel point l'auteur était féroce envers la presse, ou plutôt ce que cela signifiait de son regard sur nos sociétés de moldus (dont le monde des sorciers est un écho déformé). C'était déjà le cas dans le livre précédent concernant les torchons de la presse people (qui sont une spécialité anglaise), avec le portrait au vitriol de la journaliste Rita Skeeter, mais ce sont cette fois les mensonges politiques colportés par les revues prétendument sérieuses comme "La Gazette du Sorcier" qui sont dénoncés et forment les jeunes lecteurs à se méfier de la presse "mainstream"... Difficile de ne pas penser par exemple aux prétendues "armes de destruction massive" soi-disant détenues par Saddam Hussein et qui ont embarqué l'opinion britannique dans la guerre en Irak en 2001. C'est aujourd'hui presque une mode de taper sur les médias traditionnels, mais ce n'était pas encore le cas (en tout cas beaucoup moins) au moment de la sortie du livre.

Ensuite, qu'est-ce que cela veut dire sur la politique ? La propagande des médias envers la population de sorciers dont Harry est victime (beaucoup ne le croient pas, cela le pousse à refuser l'aide de ses amis et par la même occasion le met en danger), sujet majeur qui court tout le long du livre, est orchestrée par le ministre de la magie, qui s'est convaincu lui-même que Voldemort n'est pas de retour. le fait que presque tous les sorciers n'osent pas prononcer son nom est évocateur : "vol de mort", alors que la mort est un des tabous les plus présents dans notre société. le déni de Cornélius Fudge est un comportement similaire mais à l'échelle politique qui est malheureusement assez crédible, quand on voit par exemple l'absence de prise en compte sérieuse des dangers du réchauffement climatique par les dirigeants du monde entier. Certains penseurs écologistes ont déjà souligné ce parallèle entre le déni de la mort et déni de la crise environnementale (Pablo Servigne, George Marshall...), tandis que des spécialistes d'Harry Potter ont étudié la différence de comportement face à la mort entre ce héros qui l'accepte et son ennemi qui la refuse.

Enfin et je ne m'étendrai pas là dessus pour ne pas faire trop long, lire Harry Potter et l'Ordre du phénix tout en étant un adulte c'est éventuellement mieux comprendre pourquoi Mrs Weasley a tellement du mal avec le comportement de Sirius Black un brin immature (même s'il est attachant par ailleurs et que cela s'explique parfaitement), alors qu'il s'agit probablement du plus "cool" du point de vue des jeunes. C'est se demander ce que Harry peut bien faire avec Cho plutôt que de sortir par exemple avec Luna Lovegood (oui, c'est mon crush personnel), même si c'est tout à fait crédible qu'à son âge il choisisse une fille mignonne plutôt que juste bizarre. Enfin c'est lever les yeux au ciel devant le manque de prises en compte d'Hermione qui sous ses airs agaçants est vraiment le personnage que tu rêverais d'avoir avec toi comme PNJ dans un jeu de rôle car elle a presque toujours raison (non mais vraiment, pas que sur les cours, on ne s'en rend pas compte c'est tout).
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Déjà le 5ème opus de la série, Harry a passé un été compliqué chez son oncle et sa tante et l'horreur la plus absolue est atteinte lorsqu'un soir il est attaqué avec son cousin par des Dementors.
Au fur et à mesure que les livres s'enchaînent et que Harry grandit, l'histoire devient de plus en plus sombre. Même si les jumeaux Weasley sont toujours là pour nous faire rire, le reste n'est pas tellement gai (et ça ne s'arrange pas à la fin).
Cet épisode m'a particulièrement interpelée car il montre bien comment une dictature se met en place et comment, au fur et à mesure, on peut priver les gens de leurs droits sans qu'ils aient leur mot à dire et en leur cachant un maximum d'informations pour les manipuler.
Bref : toujours aussi fan de cette saga, je file me plonger dans le 6ème livre !
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Nous atteignons désormais la seconde moitié de la sage Harry Potter avec ce cinquième tome intitulé Harry Potter et l'Ordre du Phénix. J.K Rowling a continué à faire évoluer tous ses personnages de façon à ce que nous, lecteurs, parvenons à voir le changement de maturité dans le comportement de Harry, Hermione, Ron et tous les autres personnages. de plus, l'écriture aussi évolue puisque, hormis les dialogues, ce sont les pensées de Harry qui composent ces romans. Cette fois, le Maître des Ténèbres est bel et bien de retour! On pourrait penser que l'histoire commence à perdre de son intérêt et pourtant, c'est tout l'inverse puisque l'auteur rend l'histoire de plus en plus palpitante! Par ailleurs, le comportement de Harry vis-à-vis de ses amis m'a quelque peu dérangé. En effet, son lien avec Voldemort le rend très irritable et peu fréquentable, mais malgré tout nous restons accrochés à lui tout simplement parce que nous compatissons à sa douleur mentale. Pour en revenir au Maître des Ténèbres, c'est principalement grâce à lui que cette histoire prend de la maturité puisque le fait de relater sa jeunesse durant tout ce roman va intensifier quelque peu les dialogues et par la même occasion les compliquer davantage surtout pour les plus jeunes des lecteurs. Pour ce qui est de l'habituelle école, celle-ci commence doucement à prendre du recul suite aux expéditions de Harry. Alors est-ce positif ou pas? Après tout, c'est bien grâce à l'Univers de Poudlard que nous sommes devenus addicts à cette saga. Quoi qu'il en soit, pour ce tome-ci, cela ne pose pas de problème. Ainsi, j'attribuerai la note de 9/10 à ce roman qui annonce un prochain roman encore plus sombre et palpitant.
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