Citations sur Les énigmes d'Aurel le Consul, tome 3 : Le flambeur de .. (53)
Le Who's who est terrible pour les épouses. Elles peuvent avoir fait de grandes études, brillé dans le sport ou la musique, dès lors qu'elles n'exercent pas d'activité, la formule "sans profession" se referme sur elles comme une pierre tombale.
Sur cette réplique théâtrale, ils firent une sortie majestueuse l'un après l'autre par la porte à tambour. Aurel, à qui le vin blanc donnait un peu le vertige, fit deux tours avant d'être éjecté du bon côté.
Quoique la photo fût prise en plein air et avec un beau soleil, Aurel ne put s’empêcher de penser que ces sportives sentaient le couvent et l’éducation des bonnes sœurs. Tout cela évoquait la bourgeoisie catholique de province. (page 68)
Aurel avait conscience, depuis toujours que la téléphonie mobile est un redoutable moyen de contrôle. Dans sa stratégie visant à se soustraire au travail, il était indispensable de ne pas tomber dans ce piège. (page 37)
Le Who’s who est terrible pour les épouses. Elles peuvent avoir fait de grandes études, brillé dans le sport ou la musique, dès lors qu’elles n’exercent pas d’activité, la formule « sans profession » se referme sur elles comme une pierre tombale. (page 64)
Le métro de Bakou, inspiré de celui de Moscou, est tout en marbre et cuivre. On s’y sent comme dans un musée. (page 281)
Les manières du vieil homme étaient d'une onctuosité qui évoquait pour Aurel un plat populaire préparé en Roumanie à l'occasion de Pâques et qu'il n'avait jamais pu manger sans être écœuré.
C’était exactement le genre de femmes qui terrassaient Aurel. Sa beauté, son raffinement, son mystère la situaient immédiatement dans la catégorie de ce qu’il appelait les grandes dames. De telles femmes le remplissaient d’admiration et de terreur. Il était prêt, au premier regard, à se sacrifier pour elles. (pages 24-25)
Aurel avait conscience depuis toujours que la téléphonie mobile est un redoutable moyen de contrôle. Dans sa stratégie visant à se soustraire au travail, il était indispensable de ne pas tomber dans ce piège.
Il ne pouvait s’évader en esprit qu’avec un piano. Ce n’était pas un simple accessoire. Son piano jouait le rôle du bâton du chaman, du tambour du sorcier, de la baguette du magicien. Sans lui, à supposer qu’il parvînt à entrer dans le monde des esprits, il ne pouvait espérer s’y frayer un chemin. (pages 88-89)