Dans la lignée des témoignages de
Simone Veil et de
Marceline Loridan-Ivens et des romans de
Jorge Semprun et
Primo Levi, notamment,
Ginette Kolinka nous retrace avec un insondable courage son "expérience" des camps de concentration avec tout le vocabulaire et les images scabreuses qu'un tel exercice nécessite.
Ce texte nous raconte une fois de plus la cruauté dont sont capables les Hommes, la honte qu'elle ressent et qui a été ressentie par la majeure partie des survivants et nous incite (ou devrait nous inciter) à ne pas oublier ce qui s'est passé pour, justement, que cela ne se reproduise plus, tout en suscitant une fois de plus cette interrogation en nous : comment l'humanité a-t-elle pu en arriver là ?
Commenter  J’apprécie         80