Russo excelle dans les deux nouvelles qu'il consacre à l'enfance et l'adolescence : "La botte" et surtout "Les mystères de Linwood Hart", qui rappelle, toutes proportions gardées, "
Ce que savait Maisie" d'
Henry James. Les autres textes (des histoires de couples pour la plupart) présentent un intérêt mineur. Si Russo pèche, c'est par excès de réalisme - un défaut que les critiques lui ont apparemment reproché si l'on en croit l'échange de la page 200 ("Poison"), probablement autobiographique.
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