La chorale des Dames de Chilbury

Je tiens à remercier les éditions Albin Michel et Babelio, qui, a travers une masse critique privilégiée, m'ont permis de découvrir ce roman.

Mais je vais me faire lyncher vu les critiques enthousiastes concernant ce roman. Et bien tant pis. C'est une histoire sympathique, sans plus. En fait, j'ai l'impression d'avoir déjà lu ou vu au moins 10 fois cette histoire.

Je m'attendais à quelque chose de plus « véridique », un vrai témoignage, puisque d'après l'auteur, c'est tiré des récits de sa grand-mère.
Or, j'ai trouvé qu'il était rempli de clichés. Il n'y a pas de surprise. On sait ce qui va arriver, c'est cousu de fil blanc. Bref, pas fan.

Mais ce n'est que mon avis…

Je suis assez mitigée sur cette lecture car bien qu'agréable, il manquait un petit quelque chose pour me transporter vraiment.
Le genre épistolaire est un genre que j'apprécie, cela m'a donc aidé à avancer dans ma lecture mais je n'ai pas ressenti l'enthousiasme que j'avais eu en lisant le cercle littéraire des amateurs d'épluchures de patates.
Je pense que cette comparaison mise en 4iéme de couverture est plus un appât qu'une réalité.
J'avoue même mettre lasser des histoires que vivaient ces femmes car il ne se passait pas grand-chose dans ce petit village de Chilbury.
A la page 220, j'ai fini par abandonner.

J'ai acheté ce livre sans a priori, une simple note d'un libraire indiquant «recommandé par votre libraire».
Mais, des les premières pages, je me suis ennuyée. Je n'étais pas très intéressée par les histoires de ce village racontées par ces dames, jeunes ou plus âgées.
J'ai également trouvé que les personnages étaient caricaturaux, ce qui les rendaient un peu agaçants et ils ne m'ont donc pas émus.
J'ai donc préféré abandonner à la 145eme page, sans trop de regret d'ailleurs.