qui peut prétendre que ce qui reste de l’enfance n’est pas étroitement associé aux réminiscences olfactives ?
J’aime l’idée qu’on puisse choisir sa famille de cœur.
Eh bien j’avance, malgré tout. Pas très vite, pas très loin, mais je fais de mon mieux.
Tourne toi vers le soleil, l’ombre sera derrière toi.
C’est fou, l’effet d’un rire d’enfant. Je ne pensais pas que ça pouvait être aussi puissant.
Je crois que j’ai envie que chacune de mes journées commence comme ça, désormais. Quelle que soit l’issue de nos combats.
Alors en quittant cette aire d’autoroute insignifiante et impersonnelle, je prends la résolution de déguster les petits riens du quotidien. De chérir tout ce qu’il y a d’extraordinaire dans l’ordinaire.
S'il y a bien une chose que j'ai apprise au cours de cette période difficile, c'est qu'il faut savourer les petits bonheurs avant qu'ils ne s'échappent.
S'autoriser à aimer, c'est construire dans sa mémoire de solides branches auxquelles se raccrocher lorsque tout tangue
Il ne faut pas s’empêcher de vivre un amour par peur de le perdre. Sinon on ne vibre jamais. On ne vit jamais. S’autoriser à aimer, c’est construire dans sa mémoire de solides branches auxquelles se raccrocher lorsque tout tangue.
Je prends la résolution de déguster les petits riens du quotidien. De chérir tout ce qu'il y a d'extraordinaire dans l'ordinaire.
La famille, c'est celle que l'on choisit.