Ainsi tournait l'astre de Sido, immobilisé au foyer de Saint-Sauveur, au nom prédestiné. Ainsi papillonnaient autour le père et les quatre enfants soudés par cette jalousie et cette estime mutuelles, qui les rivait à l'objet de leur amour.
En 1941, cette immense écrivaine, pensant devenir folle, va se jeter dans une rivière les poches pleine de pierres. Avant de mourir, elle écrit à son mari une lettre où elle dit prendre la meilleure décision qui soit.