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Critique de clauclau28


Madame Ming, la plus importante protagoniste de la sixième partie du cycle de l'invisible, oeuvre de Eric-Emmanuel Schmitt est une vieille femme chinoise. Celle-ci fait croire qu'elle a eu dix enfants, ce qui semble incroyable puisqu'à l'époque de Mao Tsé-toung, chaque femme ne devait concevoir qu'un unique enfant. C'est en mêlant sagesse, humour et imagination que l'auteur, à l'aide de métaphores que l'auteur montre, comme il dit lui-même, que la vérité lui a toujours fait regretter l'incertitude. de même, l'imagination nous fait échapper à la banalité et à l'ennui et qu'il vaut mieux hésiter, douter et tergiverser que de dire la vérité et d'être dans la certitude, dans la réalité. Il va jusqu'à une quête toute personnelle, intime de lui même comme dans "la nuit de feu" que j'ai beaucoup appréciée. La singularité de son oeuvre faisant appel à l'imagination est unique. Il raconte souvent des histoires très originales et inventives. Sa patte est unique et nous émerveille. Nulle part ailleurs j'ai été si charmée par à la fois la forme et le fond ; la forme si imaginative et drôle et un fond qui se nourrit ici de Confucius, sage chinois des temps anciens.

Etant la sixième partie, je compte évidemment lire les cinq premières et je m'attend à des récits complètement réussis. La première s'intitule "Oscar et la dame Rose" et se trouve être la partie la plus illustre de l'auteur.







































































































































































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