Citations sur The Lost Boys, tome 1 : Dans toutes mes chansons d'am.. (10)
Tu es la fille de chacune de mes chansons.
Une personne rencontre souvent son destin sur le chemin qu'elle avait emprunté pour l'éviter.
Toujours amis. J'avais envie de rire et de lui dire à quel point c'était impossible. Que la nuit de notre rencontre, j'avais franchi une limite. Que tous les petits morceaux explosés de ma vie reprenaient leur place quand j'étais avec elle.
Ma vie était de la merde et un soir, je suis sorti d’une profonde forêt, paumé, perdu, et tu étais là.
Bon sang, elle avait le goût de pommes et de sucre, elle était la chaleur et mon foyer. Elle était l'endroit où je voulais vivre à tout jamais.
Chaque note, chaque accord, chaque vers et parole naissaient de mon amour pour elle. Ça serait toujours comme ça.
C'est juste Miller. Comme lorsqu'on dit , c'est juste de l'air, toujours là, mais essentiel pour vivre.
On dit que votre vie défile devant vos yeux au moment de mourir, mais on oublie de dire que cela arrive aussi quand une personne à qui vous tenez beaucoup pourrait succomber.
Chapitre 4 :
«… Elle prit ma main et pressa son doigt où perlait une goutte de sang contre le mien.
— Promets-moi que nous serons toujours amis. Je ne veux pas te perdre. Jamais.
Toujours amis.
J'avais envie de rire et de lui dire à quel point c'était impossible. Que la nuit de notre rencontre, j’avais franchi une limite. Que tous les morceaux explosés de ma vie reprenaient leur place quand j’étais avec elle. que cela faisait des mois qu’on se voyait et qu’à chaque minute que je passais en sa compagnie, j'essayais de rassembler le courage de lui dire que le petit miséreux que j’étais mourrait pour elle s’il le fallait… »
Chapitre 3 :
«… Dans la voiture, mes parents étaient trop fatigués pour faire autre chose que se faire des réflexions cinglantes et, à la maison, ils m’envoyèrent me coucher avec la promesse « qu’on parlerait de tout ça demain matin. »
Mais à peine avais-je refermé ma porte qu’ils recommençaient à se critiquer de ne pas avoir su ce qui se passait sous leur toit.
Je les déteste
J’aime Miller.
Je dis ça pour la première fois, je l’écris noir sur blanc parce que c’est la pure vérité. Je n’avais jamais rien ressenti de pareil. C’est comme si mon corps et tous mes sens s’étaient allumés, mais j’avais peur en même temps. Il n’éprouvait pas la même chose que moi, je le savais. … »