Allô Lola, c'est encore moi, J'ai beaucoup pensé à toi ma jolie
Lola...
Le début de l'année 2020 ne me semble pas de la meilleure cuvée littéraire. Après m'être échappé du Groenland me voici perdu à L.A sous le fief brûlant des cartels de drogue. Une dose de sucre SVP.
Bah c'est joli, L.A, non ?
Si, c'est joli. Tellement joli que je suis allé foutre mon nez dans le bocal à sucre fin afin d'avoir ma dose. Une dose afin de tenir le coup, mais rassurez-vous cette lecture a été moins pénible que d'autres, mais je dois reconnaître que je n'ai absolument pas accroché à l'histoire. Je l'ai lue, mais elle ne me marquera pas.
Pourtant l'idée de base est bonne avec cette
Lola qui dirige d'une main « maternelle » son gang, sa crew, sa team etc. Mais voilà... J'ai eu l'impression de voir un épisode de la série Shameless et un 24Heures chrono, mais en nettement moins bien. Les personnages ne sont absolument pas creusés, on surfe sur des personnages secondaires qui [insérez ici l'adjectif qui définit ce que je souhaite exprimer] et qui sont dans une sorte de clan à semi-confiné. On ne sait pas trop ce que certains font là vu que leurs apparitions sont brèves.
Le personnage de
Lola aurait été plus intéressant à creuser avec ce coté femme qui chercher à prendre sa place et le pouvoir. Femme patriarcal et même si je lui reconnais une dose de féminisme, je n'ai pas été sensible à ce personnage qui manquait d'un petit quelque chose. Heureusement, le personnage de Lucy, une enfant, relève l'histoire qui pour tout dire commence à devenir un peu plus éveillant à partir des trois-quart du livre, mais ce n'est pas suffisant pour que je puisse véritablement aimer cette histoire.
Putain ! Il me faut un fix ! Mes pages commencent à trembler.