On va dire que le début tient à peu près la route: truculence laborieuse et interrogations métaphysiques répétitives; c'est plutôt ennuyeux mais c'est cohérent. Mais dans la 2° partie, plus rien ne tient debout. Des qu'il a une idée de créature , hop,
Sfar l'intègre dans son histoire. Que ce personnage ne serve à rien, qu'il parle exactement comme tous les autres personnages du roman, l'auteur s'en fout, genre, je suis inspiré, on ne va pas me demander en plus de bosser? Et quand
Sfar n'est plus inspiré? Ben il arrête. Mais le lecteur s'en voudrait de lui faire remarquer que l'histoire reste en plan, qu'elle n'est pas finie et n'a aucun sens: parce que, au moins, on peut fermer le livre et passer à autre chose.
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