Ce sont trois récits de vie de paysans pauvres, chinois et musulmans qui font partie d'une minorité. C'est bien écrit mais un peu ennuyeux.
Commenter  J’apprécie         10
L'eau de la Qingshui, sous ses yeux, paraît calme, on la croirait arrêtée, toujours la même, et pourtant, sous le miroir impassible, l'eau ne cesse de courir, joyeusement. Aïcha se dit alors qu'une rivière est toujours en mouvement, mais que, pourtant, si on se penche pour la regarder de tout près, elle a l'air immobile et que c'est encore pareil si on la regarde de très loin.