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Citations sur Trahison (15)

Les gens qui ont de l’argent ont toujours des amis ... Et ceux qui ont énormément d’argent ont de très bons amis.
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Le regard ne ment[ait] jamais.
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Bah... le prénom n'a aucune importance, marmonna-t-il en sortant. Il n'y a que le regard qui compte. Les yeux disent tout ce qu'il y a à savoir d'un homme.
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Les femmes politiques devaient toujours soigner leur allure, tandis que les hommes semblaient ne jamais s'en soucier, n'hésitant pas à déboutonner leur veste et à exhiber fièrement leur bedaine qui tendait leur chemise.
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- Bah... le prénom n'a aucune importance, marmonna-t-il en sortant. Il n'y a que le regard qui compte. Les yeux disent tout ce qu'il y a à savoir d'un homme.
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Le corps avait beau être un esclave, l'âme avait beau être en lambeaux, les yeux disaient toujours la vérité.
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Úrsúla Aradóttir. L’article annonçait qu’elle venait d’être nommée ministre. Elle ne pouvait quand même pas avoir grandi à ce point… Et pourtant, aucun doute, il s’agissait bien d’elle. Une fois encore, il fut envahi de l’étrange sensation que la vie des autres se déroulait en ligne droite tandis que la sienne tournait en rond. Il tira son carnet de sa poche. Il s’apprêtait à noter ces quelques réflexions sur le temps lorsque son regard se posa sur l’homme à côté d’Úrsúla sur la photo. Tous deux souriaient en fixant l’objectif. Ses yeux à elle étaient pleins de vie et de joie, comme ils l’avaient toujours été, tandis que ceux de l’homme étaient glacials. Le regard le plus froid du monde. Il continua d’observer la photographie sans comprendre comment Úrsúla, devenue ministre, pouvait ainsi lui serrer la main. Serrer la main du Diable en personne.
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Le chef de cabinet lui tendit un petit flacon de désinfectant pour les mains. - N'aie pas peur de l'utiliser en toute occasion. Durant le mois qui vient, tu vas devoir serrer plus de mains que tu ne l'as fait de toute ta vie, et la grippe vient de faire son retour. En souriant, elle s'empara du flacon dont elle versa quelques gouttes dans sa paume avant de lui proposer à son tour. Ils se frottèrent les mains quelques secondes. L'odeur douce et légèrement mentholée du produit rappela à Ursula à quel point elle était en sécurité ici: aucun germe ne résisterait à un simple désinfectant à base d'alcool. Au Liberia, ils devaient se laver les mains à l'eau de Javel.
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L’espace d’une seconde, elle sentit renaître en elle l’étincelle qu’elle avait si souvent perçue quand il lui souriait ainsi. Il était de plus en plus beau à mesure que les années passaient, et il ne faisait aucun doute qu’il vieillirait bien. Un peu de gris dans ses cheveux sombres ou sa barbe ne le rendraient que plus séduisant. Elle voyait bien à quel point il attirait le regard des autres femmes, et lorsqu’ils sortaient, lorsqu’ils se mêlaient à la foule, elle était fière d’être son épouse. Mais cette étincelle s’accompagnait invariablement de la culpabilité qui imprégnait tous leurs échanges depuis qu’ils étaient revenus vivre en Islande. Il lui demandait régulièrement ce qui n’allait pas. Qu’ils soient chez leur conseiller conjugal ou seuls à la maison, elle ne pouvait dire à voix haute qu’elle ne ressentait plus rien à son égard ni envers les enfants, qu’elle savait qu’elle les aimait mais ne parvenait pas à l’éprouver réellement. Elle ne pouvait pas dire qu’elle ne ressentait pour eux que la tendresse qu’elle éprouvait pour les gens en général. Qu’elle aimait les gens, qu’elle avait de l’empathie pour eux, qu’elle voulait les aider, eux trois compris. Mais qu’au-delà de ça… rien, à vrai dire.
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Il n’était ni beau ni confortable, mais Gunnar aimait se contenter de peu – c’était un bon entraînement. Íris avait une autre vision des choses et se plaignait du manque de meubles chaque fois qu’elle venait chez lui. Il se leva, s’approcha d’elle tandis que, appuyée contre le plan de travail de la cuisine, elle secouait une brique de boisson protéinée.
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