Il ne faut pas se tromper,
Dan Simmons est un auteur américain et j'ai le sentiment qu'il est imprégné par sa culture de l'entertainment.
L'échiquier du mal, 1 est un bon exemple, comme
L'épée de Darwin et
Flashback, que même s'il est classé science fiction, il est jalonné de ce qu'on peut appeler (en généralisant) d'actions. Il y a des courses poursuites, des flics et
Dan Simmons ne rechigne pas à une fusillade.
C'est en ça que je trouve
Dan Simmons, un auteur empreint de cette culture populaire, qui, si elle plaît pas à tout le monde, à au moins le mérite d'essayer de ne pas ennuyer le lecteur. Là où le cinéma se fourvoie dans une industrie devenue creuse mais incroyablement rentable, la littérature va dans l'action avec parcimonie.
L'échiquier du mal, 1 explore donc, avec exagération (ou extrapolation, la possibilité d'un monde dans lequel des êtres sont dotés d'un pouvoir de manipulation psychique.
La suite sur le blog…
Lien :
http://livrepoche.fr/l-echiq.. Commenter  J’apprécie         12