'ai lu ce livre sur mes temps de pause, et cela lui convenait bien puisqu'il n'y a pour ainsi dire pas de suspense. La fin , on la devine assez vite. Si le début est en pleine action, le tempo devient vite lent, pour faire une remontée vers la fin.
Au début, je trouvais bien, cette fille avocate qui part sur les traces de sa grand-mère,à la manière de
Kate Walker dans "Syberia". Mais je ne pensais pas que ça tournerai encore à la romance hâtive. On va se le dire, c'est encore une histoire d'amour qui arrive super rapidement avec un beau gars brun aux yeux bleus qui a tout pour lui. Sempiternelle reprise du gars parfait, à défaut du mystérieux bad boy. Vraiment, c'est blasant. Et quétaine. Mais bon, je connais des gens qui aiment le quétaine, alors avis à ceux qui aiment ce genre, vous allez être servis! Point positif, il n'y a pas de coucheries d'une soir, c'est déjà ça.
Sinon, il s'agit d'une fille, Ellen, qui va porter une lettre de sa grand-mère défunte à l'homme qu'elle a aimé étant jeune. Dans le petit village natal de sa grand-mère, elle retrace peu à peu son passé de grande peintre. Et il y a des myrtilles de temps en temps, dans le paysage, dans la pâtisserie et dans les toiles peintes par sa grand-mère. Au début, j'ai été intriguée par ce roman, mais au final, je n'en sort pas changée du tout, pas très divertie non plus. J'attendais juste de voir quand le café allait apparaître.