"Katherine m'embrassa à nouveau, avec plus de fougue que jamais. Je cessai de respirer, envahi par un tel désir que je reculai. L'amour que j'éprouvais pour Katherine était tellement puissant qu'il en devenait quasiment douloureux. Cela rendait toute tentative de respirer,de parler, de pensée plus compliquée."
page 186.
- Tu es content comme ça petit frère ? lança-t-il sur un ton à la fois bougon et méprisant.
- Tu préférerais être mort plutôt que d'avoir le monde entier à portée de main ? Tu devrais me remercier !
La rage enflamma ses pupilles.
- Te remercier ? Je ne t'ai jamais demandé de faire de ma vie un enfer dont je ne pourrais m'échapper, cracha-t-il. ( Tout à coup il m'agrippa avec une violence telle que jen eus le souffle coupé ). Mais écoute bien ça petit frère, siffla-t-il à mon oreille: bien que nous soyons condamnés à passer l'éternité ensemble, je veillerai à ce qu'elle te paraisse la plus atroce possible.
- Pauvre, gentil, et loyal Stefan. On ne vous a pas encore appris que les règles étaient faites pour être enfreintes ?
le 21 Août 1864 je n'arrête pas de penser à elle depuis son arrivé la veille!!
C'est toi et moi, grand frère, maintenant. À la vie, à la mort. Il y aura d'autres katherine. Pour l'éternité. Dorénavant, le monde nous appartient.