Ce qui est arrivé à ta tendre Rosalyn n'était pas naturel. Ce n'était pas un des coyotes de Damon, insista Père, écumant de rage. C'était un vampiro. Après avoir hanté le Vieux Continent, ils sont ici à présent. Et ils font des ravages. Ils se nourrissent de notre sang. Nous devons enrayer ce massacre.
Ils l'appellent l'heure fatale, ce moment vers la mi-nuit ou tous les humains dorment lorsque les créatures de l'ombre peuvent les entendre respirer sentir leur sang regarder leurs rêves se déployer .A cette heure le monde nous appartient : nous sommes libres de chasser ,de tuer de protéger.
Je connaissais la sérié télé Vampire diaries et pas vraiment tentée par la saga le journal d'un vampire, j'étais plutôt curieuse de celle du Journal de Stefan du fait de l'époque de l'histoire.
En fin de compte, le tome un reprend ce qu'on sait déjà dans la série de la période de la rencontre de Katherine avec Stefan et Damon, le triangle amoureux qui se crée et la chasse aux vampires...
Bref, une lecture assez sympathique, j'ai apprécié que pour une fois les vampires étaient évoqués au 19e siècle et non à notre époque par contre j'ai été déçue qu'aucun autre personnage ne soit développé.
Globalement je suis mitigée mais curieuse de savoir ce qui peut bien se passer dans le second tome !!!!
Ce que je ne comprends pas, par contre, c'est pourquoi Katherine t'a fait confiance. Pourquoi elle a cru que tu ne la vendrais pas. Ni pourquoi elle t'aimait.
Sa voix se brisa sur ce dernier mot au moment où il laissait tomber le couteau.
Je hochai la tête sans vraiment écouter, incapable d’envisager la mort de Rosalyn à la lumière d’un débat sur la guerre. Au son du radotage de Damon, je me rallongeai et fermai les yeux. Je convoquai le souvenir du visage de ma fiancée au moment où je l’avais trouvée. Là, dans l’obscurité, elle avait paru différente, avec des yeux étonnamment grands et luminescents. Comme si elle avit vu quelque chose d’affreux. Et qu’elle avait souffert atrocement.
Je me délectai de la vue - Damon buvant avec avidité ses premières gorgées, d'abord hésitantes puis goulues, son visage enfoui au creux du coup d'Alice. plus le corps inerte de celle-ci pâlissait, plus le rose aux joues de Damon revenait, signe de bonne santé.
- C'est moi qui ai tiré. Pour toi et pour Damon. Mais visiblement ça n'a pas suffi puisqu'il faut que je termine le travail, acheva-t-il d'un ton glacial.
- Vous avez tué vos propres fils ? lui lançai-je, gagné moi aussi par la rage.
Si j'avais une de ses pâquerettes, je pourrais en arracher les pétales un à un et laisser la fleur choisir à ma place. Je l'aime... un peu... beaucoup... pas du tout...
Je l'aime.
super pour une fiction a lire les trois autres
- Monsieur, merci de m'accorder le plaisir de la compagnie de votre fille (...)
- Tout le plaisir est pour moi. Je sais qu'il s'agit d'une bonne fusion. Pratique, à faible risque et de nombreuses opportunités de croissance.