Citations sur Hadès et Perséphone, tome 1 : A touch of darkness (192)
Aux yeux des dieux, tu es l’une de ces deux choses (...) Un coup de force ou un coup d’un soir.
Parfois, le simple fait de vivre est une punition suffisante.
- Je ne te l'ordonne pas, répondit-il. Je te le demande.
- Ca implique que j'ai le choix.
Elle ne l'aurait pas cru possible, pourtant, Hadès la tint encore plus fort. Son visage était à quelques millimètres du sien et elle n'arrivait pas à le regarder dans les yeux car elle était hypnotisée par sa bouche. Le souvenir de leur baiser hantait encore ses lèvres et elle se força à fermer les yeux.
- Tu as le choix, dit-il. Mais si tu choisis Adonis, je viendrai te chercher et je ne te laisserai peut-être plus repartir des Enfers.
Elle ouvrit grand les yeux et le fusilla du regard.
- Tu ne ferais pas ça, siffla-t-elle.
Hadès ricana et se rapprocha encore, son souffle caressa sa bouche.
- Oh, ma chérie, tu ne sais pas de quoi je suis capable.
Et il disparut.
- Tu n'aurais pas eu besoin qu'on te sauve si tu m'avais attendu !
- Mouais, parce que tu avais un contretemps, dit-elle en levant les yeux au ciel. Quoi que ça veuille dire.
- Tu veux un dico ?
Si tu ne te libères pas d'abord toi-même, personne ne le pourra.
tu cherches désespérément à être aimée tout en croyant que tu n'es pas digne d'être aimée.
Je vois l'âme. Ce qui l'écrase, qui la corrompt, ce qui la détruit, et je défie la source du mal.
L'amour est une raison égoïste de ramener un mort à la vie.
Qu’est-ce qui pouvait pousser les gens à parier leur âme? Était-ce le désir d’argent, d’amour ou de toute autre richesse?
-Je t'ai attendue l'équivalent de plusieurs vies, dit-il, comme s'il adressait un serment au firmament, aux océans, à toutes les âmes du monde, à l'univers tout entier. Je le sais, conclut-il.