Mon ami Jean-Paul admet que ses vacances à Quiberon égratignent largement sa trésorerie : plus de 1000 euros par semaine pour le voyage, les repas à l'extérieur, la location et les traversées de l'océan. "Les jours où il flotte, je me dis que j'aurais pu rester chez moi sous la douche en déchirant des billets de banque. Çà aurait le même effet", conclut-il, un brin cynique.
Il est possible de survivre à un hiver d'invitations mondaines à paris avec une pièce intello, une expo lugubre, un film encensé par Télérama et un roman nombriliste, n'importe lequel pourvu qu'il soit ennuyeux à mourir.