Dans l’un de ces contes, un magicien boit un philtre confectionné avec une herbe qui préserve sa jeunesse. Mais elle ne pousse qu’au sommet d’une montagne. Aussi, chaque année, doit-il persuader un jeune d’escalader cette montagne. « Jette-moi cette herbe, et je viendrai te chercher. » Le jeune homme jette l’herbe. Je ne me souviens pas de la fin. Ça s’arrête peut-être là. J’ai oublié la fin de la plupart de ces contes, sauf la plus importante : Shéhérazade survit.