Just a perfect day. Pour découvrir ce polar machiavéliquement construit.
En bref résumé, un corps retrouvé entre la vie et la mort au bord d'un lac. Pourquoi? Comment?
Une voix off tente de nous raconter l'histoire passée. Elle est entrecoupée par les voix du présent qui nous racontent tout autre chose.
Le pauvre lecteur se résigne à suivre tantôt l'une, tantôt l'autre. Il débrouille vaillamment le mystère des prénoms islandais (c'est tout un poème), reconstitue la chronologie des faits, découvre un nouveau cadavre, et se retrouve à la case départ, tout déconfit.
Il décide de se laisser porter par les événements, s'embrouille, comme de bien entendu, suffoque et est ravi de terminer quasi asthmatique. Il reprend son souffle pour retrouver Valdimar dans
L'incendiaire, deuxième volet.