Sara Stridsberg s'est déjà imposée il y a quelques années avec son premier roman paru en France, le superbe «
La faculté des rêves. Annexe à la théorie sexuelle » et il n'est donc pas nécessaire de la comparer à d'autres écrivains pour faire l'éloge de son écriture. Et pourtant… il y a un peu de « Maria avec ou sans rien » de
Joan Didion (en particulier dans les premières pages), et aussi quelque chose de l'univers étrange et féminin de
Laura Kasischke (notamment «
A suspicious river ») dans ce «
Darling river ». D'autre part, la Laura de
Sara Stridsberg, jeune femme disparue, ne peut que faire penser à la Laura Palmer de « Twin Peaks ». Mais son personnage principal,
Lolita, vient bien sûr de
Nabokov.
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