Le disciple de la Sagesse éternelle explique, dès le Prologue, qu’il lui a été donné d’avoir « la vision, sous la forme d’une très belle horloge, décorée de magnifiques roses et ornée d’une variété de timbres sonores, rendant un son doux et céleste et élevant les cœurs », et qu’il lui a été alors conféré le nom de Frère Amandus (chap. VII), « celui qui est digne d’être aimé ». L’expression qu’il propose de cette vision, qui suit la cadence des heures et des Offices, montre que le titre de l’ouvrage, L’Horloge de la Sagesse, est particulièrement bien choisi.