Un papa vivant

C' est un très beau premier roman. Une écriture très élégante.
Alice Taglioni nous livre son histoire mais sans jamais se révéler, tout en pudeur.
Longue et belle vie à Elliot, Gloria, Bruce et Jo.

A lire pour vous apporter de la beauté en ces moments ternes.

J'ai versé quelques larmes sur les dernières pages.
Le livre est très fluide, les chapitres sont courts.
L'histoire est très touchante, celle de Eliott et de Gloria, sa maman.
Ils se construisent, reconstruisent à deux après le décès de Jo, le papa de Eliott à ses 8 mois.
Une très belle surprise que ce livre

Je viens de terminer un livre MAGNIFIQUE.Pleins de tendresse,de tristesse,de bonheur...Il aborde le deuil d une façon adorable. Moi,qui ai perdu ma petite fille sans avoir eu la chance de la prendre dans mes bras(ma fille rentrait dans son 6eme mois de grossesse),je sens très bien sa présence comme ce petit garçon avec son père.Bref,je trouve vraiment ce livre formidable et je vous laisse découvrir cette belle histoire💘💘💘

Un très joli roman plein d‘amour et de poésie. Moi aussi je pense que les gens qu‘on aime restent toujours avec nous, je pense que les enfants sont ceux qui le voient le mieux. Merci à Alice Taglioni de nous avoir partagé ça. Je vous conseille cette très jolie lecture.

Un papa vivant est le premier roman de l'actrice Alice Taglioni, directement inspiré par sa vie et le drame qu'elle a du surmonter : la mort de son compagnon Jocelyn Quivrin dans un accident de voiture en novembre 2009. le roman lui est d'ailleurs dédié ainsi qu'à leur fils Charlie.

Comme Alice, Gloria, son héroïne, doit faire face à la perte de l'homme qu'elle aimait, Jo, un acteur, disparu dans un accident de ski alors qu'il n'avait que trente ans. Leur petit garçon avait tout juste huit mois. Comme Alice, Gloria est pianiste et fumeuse. Les ressemblances s'arrêtent là pour faire place à la fiction.

C'est un roman sensible, pudique, élégant, à l'image de son autrice, en tout cas celle que j'ai d'elle. Alice Taglioni écrit sur le deuil et sur la vie d'après, la difficulté d'élever un enfant seul et la peur de faire entrer à nouveau la vie dans son quotidien, la peur d'oublier l'être aimé, d'oublier sa voix, ses gestes.

Et puis il y a Elliot, qui a connu si brièvement Jo et, qui, arrivé à ses sept ans, veut un papa vivant, quoi de plus légitime ? C'est alors que Jo rentre dans la vie de son fils pour partager des moments autour de la balançoire. Une présence fantomatique, telle une âme, que seuls Elliot et Motus son chien, voient.

L'enfant est très attachant, tellement plein de vie et de joie, qu'il habite véritablement ce roman. Ses réparties, ses questionnements font mouche et le rendent très attendrissant.

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Les personnages de ce premier roman sont attachants, en particulier le petit fripon d'Elliot. On ressent sans difficulté leur tristesse face à l'absence d'un être cher mais aussi leur volonté de surmonter ce deuil ensemble. La « présence » de Jo, agissant comme un passage de flambeau, une autorisation pour Gloria d'aimer à nouveau.

Un papa vivant est une jolie lecture, sensible et délicate dans sa manière de traiter les sentiments.

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Elliot va bientôt fêter son septième anniversaire. Toujours sans son papa qu'il n'a jamais connu, il est décédé quelques mois après sa naissance lors d'une avalanche en montagne. Gloria, sa mère, lui voue un amour fou et tous les deux sont en parfaite symbiose dans leur maison de Fontainebleau. Sauf, qu'un être continue à manquer et comment repeupler cette absence, surtout lorsqu'Elliot écrit sur sa liste d'envie pour les cadeaux d'anniversaire… un papa vivant !

Un roman aux allures fantomatiques et excessivement touchant et, curieusement, sans ombres de tristesse, juste une empathie qui s'élève entre les protagonistes et le lecteur. Écriture classique avec dialogues courts pour décrire simplement le ressenti d'une famille après une épreuve subie des années auparavant et qui restera ancrée au plus profond des âmes, avec un petit garçon qui doit grandir avec la blessure d'être orphelin de père.

Alice Taglioni a eu l'intelligence d'écrire un vrai roman, en s'inspirant, certes, de son propre vécu et celui de son fils – son compagnon Jocelyn Quivrin est décédé lors d'un accident de voiture et leur fils Charlie n'avait que huit mois – mais en réinventant chaque personnage, en créant une histoire avec juste quelques touches réelles et ô combien primordiales, comme le piano omniprésent et le brave toutou Motus – le seul à avoir gardé son nom même s'il a changé de race et est passé du beige clair au noir.

Un livre pour tout public, une fine analyse sur le deuil et ce qui l'entoure et qui peut aider bien des personnes se retrouvant ou s'étant retrouvées dans un chagrin similaire après la perte d'un être cher car ce roman est un énorme souffle d'espérance et comme l'avait si justement souligné le regretté Jean d'Ormesson « Il y a quelque chose de plus fort que la mort, c'est la présence des absents dans la mémoire des vivants ». Et même peut-être davantage si d'aucuns savent scruter l'invisible.
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Une histoire poignante mais pleine de tendresse. On ressent beaucoup de pudeur dans l'écriture, c'est très poétique. On partage l'émotion d'Elliot et de Gloria tout au long de l'histoire, le regard et l'envie de l'enfant qui veut des réponses à ses questions. La vie est ce mélange de douleurs et de bonheurs…

Alice Taglioni nous invite ici à comprendre la douleur qui est la sienne. Elle nous raconte que, même des années après le drame, on pleure toujours celui qui n'est plus. Mais elle nous dit aussi que la vie poursuit son chemin, qu'on le veuille ou non !
En lisant la quatrième de couverture de ce roman je n'imaginais pas que le sujet serait traité ainsi... Et j'avoue que je n'ai pas vraiment adhéré au personnage de Jo, beaucoup trop présent, trop réel à mon goût... J'aurais mieux compris une "sensation d'être accompagnée", un amour qui perdure dans le temps et qui est si fort qu'il en devient presque palpable. Ici on sort presque la planche de Ouija... et c'est bien avec cela que j'ai eu du mal. le roman s'articule vraiment autour de Jo, ce personnage entre deux mondes, et, malheureusement, les dialogues d'outre tombe ont fini par m'ennuyer.
Bien évidemment, je respecte le choix de l'auteure. Elle raconte son histoire à sa façon, et je ne remets pas en cause ce choix de faire de Jo un personnage à part entière, c'est simplement que je n'ai pas accroché avec le concept.

D'Alice Taglioni je ne connaissais que le sourire éclatant de l'actrice de cinéma, et puis le souvenir vague d'un drame: la perte de son compagnon acteur, mort brutalement alors que leur fils avait moins d'un an.

Ce week-end à Paris, j'ai eu la joie de retrouver une amie avec laquelle je passe de trop rares mais néanmoins précieux moments et elle m'a fait la joie de m'offrir ce roman. Je l'ai dévoré dans l'Eurostar du retour.

Avis: vous l'aurez compris de la 4ème de couverture, Alice a mis beaucoup de son histoire et de son vécu dans ces pages qui n'en sont que plus précieuses. J'ai habituellement un peu de mal avec les récits fortement autobiographiques, mais impossible de ne pas être touché par ses mots. Un livre plein de tendresse, d'amour, de pudeur aussi et de foi extraordinaire en la vie, en la présence parmi nous toujours de ceux qu'on dit nous avoir quitté mais qui sont présents autrement. Une merveilleuse déclaration d'amour à son fils, sa mère, à ceux qui sont là quand on a l'impression que tout part.
Un roman qui m'aura surpris et mis la larme à l'oeil dans les dernières pages.

Merci pour la découverte &#xNaN☺