Citations sur Les chefs-d'oeuvre de Lovecraft : L'appel de Cthulhu .. (23)
(Manuscrit trouvé parmi les papiers de feu Francis Wayland Thurston, de Boston)
"D'êtres et de puissances aussi formidables, il est possible qu'il y ait une survivance… une survivance d'une époque incroyablement reculée....
où la conscience existait, peut-être, sous des formes et des aspects disparus bien longtemps avant le déferlement de la marée humaine...
des formes dont seules la poésie et la légende ont saisi un souvenir fugace en les appelant dieux, monstres, êtres mythiques de toutes sortes et espèces..
Algernon Blackwood
Dans ce livre, vous allez voir des choses que vous n’avez jamais vues… ou peur-être les avez-vous déjà vues, si vous êtes vraiment doué ou vraiment malchanceux. La vision lovecraftienne est faite de choses dérangeantes qui attendent tapies juste au-delà de la vision normale. L’horreur lovecraftienne est une photographie de la vie.
I know too much, and the cult still lives.
Dans sa demeure de R'lyeh, le défunt Cthulhu attend en rêvant.
Partout ce n'était que blocs de pierre titanesques et monolithes s'élançant vers le ciel... Les murs étaient couverts d'étranges hiéroglyphes. Tout semblait imprégné d'une fange verdâtre... et depuis les profondeurs sourdait une voix... qui n'était pas une voix... "Cthulhu Fhtagn !"
- Briden... Que pouvons nous faire ?!
- Supplier, Johanssen, je ne vois que ça... Nous prosterner devant cet être et le supplier de nous épargner... (p. 261)
Tout au fond des bois, il y a un lac caché, inconnu des hommes…
C’est la terre d’une gigantesque créature blanche aux yeux étincelants…
Tout au fond des bois...
Il y a un lac caché, inconnu des hommes.
C'est la demeure d'une gigantesque créature blanche, aux yeux étincelants et la nuit, des démons aux ailes de chauve-souris jaillissent de leurs cavernes pour venir l'adorer.
N'est pas mort ce qui à jamais dort,
Et au fil d'ères étranges peut mourir même la mort.
- Nous avons commis une terrible erreur ! Nous avons réveillé une chose qui n’aurait jamais dû l’être ! (p. 241)