C'était un truc étrange ,le bonheur .Tellement bien planqué dans les routines quotidiennes qu'on arrivait à l'oublier . Il ne se dévoilait au grand jour que lorsque le frôlement du malheur en brisait le continuum .
Ça faisait un drôle de bruit, le silence. Des petits confettis de temps, qui s’écrasaient lentement par terre, un peu comme de la neige. C’était toujours pareil, juste avant.
Il n’y aurait pas d’après.
Les preppers. Des gens convaincus qu’une apocalypse quelconque était imminente. Alors ils se préparaient, en entassant toutes sortes de choses plus ou moins utiles dans leur garage, voire parfois dans leur abri souterrain. La plupart du temps, il s’agissait de citoyens ordinaires. Une poignée d’entre eux seulement vivaient en marge de la société, persuadés qu’un complot gouvernemental visant à l’asservissement des masses et à l’élimination des contestataires dans d’immenses camps de travail se préparait.
: "quand le sage montre la lune, l'imbécile regarde le doigt". C'est pour cela que la vérité est ailleurs !