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Citations sur Putain de guerre - Intégrale : 1914-1918 (13)

On y est retournés encore et encore, sans jamais réussir à perdre pied sur ce foutu plateau ! En bas, la plaine était bleue. On pataugeait dans les viscères. Nous étions abandonnés entre les pattes d’un individu incompétent et buté, haut placé dans la hiérarchie des assassins.
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On ne dira jamais assez l'imposture du sentiment patriotique guerrier, savamment exacerbé par l'école de la 3ème république.
Jaurès contre la guerre, assassiné en 1914, Juillet je crois.
Les hommes de " bien " - ceux qui ont du bien - ont eu chaud aux fesses.
"On croit mourir pour la patrie ; on meurt pour des marchands de canon "
Anatole France
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Pour ces assassinats, qu’on nous obligeait à commettre en toute légalité, en temps de paix, on se serait tous fait raccourcir !
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La guerre nous brulait les boyaux et dans la puanteur de nos existences dérisoires, je me cramponnais à un espoir : rentrer à la maison, qu’on la perde ou non cette guerre n’était pas la mienne !
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Plus atroces seront nos plaies et meilleure sera notre place dans les nuages de gaz phosgène, à la droite de notre "saigneur". Moi, les bondieuseries m'avaient toujours donné envie de vomir dans le bénitier !
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Pauvre pantin séchant au soleil dans les cordes à linge!
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Mais ce que je comprenais à piger, c’est qu’on était devenus des bêtes, un troupeau de brutes habituées aux horribles blessures, aux ventres ouverts, aux membres arrachés à leur tronc…
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"Et combien de morts y avait-il eu pendant qu'on se la coule douce à l'arrière ?"
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On a appris que Brugnon n'était pas rentré de permission. Il s'était pendu dans sa cage d'escalier de son immeuble, rue des Gâtines.
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La guerre nous brûlait les boyaux et dans la puanteur de nos existences dérisoires je me cramponnais à un espoir rentrer à la maison , qu'on la perde ou pas cette guerre.
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