Pour que le viol soit qualifié au Japon, il revient à l'accusation de prouver qu'il y a eu usage d'une force écrasante, de menaces, ou que la victime était dans la totale incapacité de résister. En somme, il faut prouver que l'on a fait tout son possible pour échapper au viol, éludant la question du consentement et excluant les cas de domination psychologique. Dans les cas où la victime était inconsciente, on parle alors de "quasi-viol".