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Critique de BRUMANT


ne cultivent l'aphorisme que ceux qui ont connu la peur au milieu des mots (Cioran) . En vieillissant la forêt sent le sapin. Chaque soir, en voyage, Odin redressa bien des Thor. La fabrique de l'aphorisme. Comment écrire la folie du monde.
Le spectacle du marché aux bestiaux d'oulan c'est le 10eme livre que je lis de Sylvain Tesson. L'aphoriste flâne en entomologiste. le voyageur vaque en chemin avec son filet. Cette fiente de l'esprit qui vole ( Hugo) et des oeufs mollets sur un lit de cresson (Zola).
Il faut de la légèreté. le livre-brouillard. Miroir de l'âme. que tout homme qui possède deux pantalons en vende un et achète mon livre. La mer : un coeur qui bat entre 2 côtes. L'aiguille de granit recoud le manteau des neiges au fil de l'arête. Rhabillez-vous ordonne le printemps aux arbres. La houle mord la terre : elle lui pardonne pas de briser sa course.Une ancolie chiffonnée qu'un myosotis l'ait oubliée .y a t'il des mers ? on fait couler tant d'encre sur Venise qu'elle se noie. Venise digère la foule par l'intestin de ses ruelles et la recrache par ses foules. Crachin : avarice des nuages britanniques. Nuage :pâtisserie du ciel entre fondant et moelleux.Regarder un singe en cage c'est mettre des barreaux à un miroir. Sur l'étal : les poissons son les tripes de l'océan qu'on vide. Vin : le fruit est dans le verre. J'ai observé un bousier Sisyphe est un jean-foutre. Une uitrevavec une coquille. Cioran
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