La seule promesse que les ALE soient capables de tenir et qu’ils ont effectivement tenue est l’accroissement des richesses et des pouvoirs du noyau dur de la classe capitaliste transnationale
Les droits humains devraient l’emporter sur les droits des investisseurs
Nous devons aussi aider les syndicats agricoles, les organisations des peuples autochtones et les défenseurs des droits à l’alimentation à unir leurs forces avec d’autres secteurs comme les défenseurs de l’accès aux médicaments ou aux droits numériques, des groupements de pêcheurs et des partisans du petit commerce de détail
l’articulation des impacts des politiques économiques, en particulier de la libéralisation du commerce et des investissements, sur le travail productif, mais aussi sur les tâches reproductives non rémunérées des femmes, consacrées au maintien de la vie et de la force de travail, c’est-à-dire sur l’insertion des femmes dans le travail historiquement et socialement en partie invisible
La lutte pour le droit à l’eau, la résistance aux mégaprojets d’infrastructure et leurs impacts environnementaux et sociaux, les alliances à propos de la « justice climatique », l’accès à la santé et contre les brevets…
Éditorial de Frédéric Thomas :
https://entreleslignesentrelesmots.wordpress.com/2017/11/27/alternatives-sud-accords-de-libre-echange%E2%80%89-dynamiques-enjeux-et-resistances-editorial-de-frederic-thomas/