Les gens qui sont bons avec les animaux sont des gens bien.
Bien qu'elle n'ait jamais été religieuse, quelque chose dans la musique qui résonnait doucement à l'orgue, dans la croix dorée brillant au-dessus de l'autel, dans le rayon de soleil hivernal transperçant les vitraux, l'emplissait du sentiment de la présence de quelque chose de plus grand et de plus puissant que l'homme. S'agissait-il d'un pouvoir bienveillant ? se demanda-t-elle. en pensant au meurtre de sa petite fille; cela lui paraissait impossible, et pourtant, ici, dans cet endroit calme et imposant, elle parvenait presque à croire en un Dieu veillant sur les humains perdus qui étaient Ses enfants, un Dieu qui avait une raison d'emporter les innocents.
Chapitre 12. II
Il n’y a que dans la fiction que les gens ont des têtes suspectes. Les tueurs en série ont en général l’air parfaitement normal. Regarde Ted Bundy ou Albert DeSalvo, l’Étrangleur de Boston. S’ils n’avaient pas présenté une apparence parfaitement normale, ils n’auraient jamais pu approcher toutes ces femmes d’aussi près.
Je n’aime pas attraper au vol. Je préfère que l’on me tende les choses.
Fidelia savait qu'elle était douée de l'étrange pouvoir de sentir le mal. Ce qu'elle ne possédait pas, c'était la capacité de le combattre, et à cet instant elle se trouvait quasiment face à face avec lui.
Chapitre 17. II
-Hayley est une bête sauvage de la terre maintenant. Voilà ce que tu en as fait. Elle aurait pu ne pas le devenir. Elle avait un papa et une maman qui l'aimaient. Elle allait à l'école. Mais tu l'as prise et tu l'as cachée. Et tu lui as fait des choses. Des choses mauvaises. des choses qu'un vieil homme ne devrait pas faire à une petite fille. Tu n'as pas honte de toi ?
Chapitre 16. III
Le côté obscur de la nature humaine avait bien des années auparavant réduit sa vie en miettes.
Chapitre 5
C'était All Hallows' Eve, la veille de la Toussaint, la nuit où les âmes des morts étaient censées visiter leurs anciennes demeures. Elle frissonna, puis se moqua d'elle-même. Même si elle avait été superstitieuse, ce qui n'était pas le cas, cette maison-ci était entièrement neuve. Personne n'y avait jamais vécu, il n'y avait donc personne pour y revenir, même sous forme d'esprit. Et pourtant, ce soir, quelque chose dans l'atmosphère de la maison la perturbait, un air d'attente et de conspiration, comme si la maison, ou quelque chose à l'intérieur l'observait.
Chapitre 3. II
" Pourquoi suis-je une telle garce ? " c'était une question qu'elle n'aurait jamais posée à qui que ce soit, mais qui la hantait depuis son enfance ?
Chapitre 3. II
- Où sont donc passées les femmes douces et soumises qui n'élevaient jamais la voix contre leur mari ?
-Elles n'ont jamais existé que dans les romans victoriens.
Chapitre 3. I